
Sous la Joconde, le mystère de son sourire s’éclaircit
Quand on observe sous sa jupe ses envies en cage d’amour.
Ce petit démon qui se terre dans son cœur qui le remercie
Et dont l’esprit, qui n’est pas dupe, rêve sous le jupon de velours.
Dès qu’elle voit le pinceau du peintre, on entend les palpitations
Du cœur qui se cogne aux barreaux de l’érotique crinoline.
Alors sous la voûte en plein cintre escalade une excitation
Qui remonte jusqu’au garrot puis, à ses lèvres sibyllines.
Tableau de Rafal Olbinski.
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