
On dit que l’on n’emporte rien de ses richesses après sa mort…
Peut-être sont-elles décomptées comme handicap remanié ?
Ainsi l’argent coronarien qui coule sans le moindre remords
Ne serait qu’aisance escomptée pour vivre au-dessus du panier.
Lorsque la porte de la mort ouvre un passage dissimulé,
L’âme se doit d’être légère et délestée de toute attache
Tandis que d’autres se remémorent tout le fardeau accumulé
Par les fortunes éphémères dans leur cœur avare et bravache.
Tableau d’Igor Morski.
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