
Si jamais ma plume se voile et de surcroît je n’ai plus d’encre,
J’embarquerai en pleine lune quand l’outre-mer devient doré.
Dicté aux poussières d’étoiles, je mouillerai alors mon ancre
Dans le royaume de Neptune et ses sirènes m’adorer.
Tableau d’Ivan Aivazovsky.
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