
Que les jours se reculent plutôt qu’ils ne m’acculent
À fixer la pendule sans autre préambule !
Le temps est ridicule à faire un monticule
D’autant de faux calculs d’années si minuscules.
À ce temps qui m’abuse, à ce temps qui m’amuse,
J’en ai l’âme confuse de ces heures qui m’usent.
Ah que mon cœur refuse à trouver des excuses
À ce cycle qui accuse des règles si obtuses !
Tableau Michael Cheval.
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