
De mon hippocampe ancestral, un vieux cauchemar magistral,
Dans les abysses de ma mémoire, dans les neurones de mes armoires.
Cette peur bleue reste enfouie dans le réseau de mon fouillis,
D’araignées et calmars géants que mes nuits extraient du néant.
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
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