À la frontière de la vie

À la frontière de la vie

À la frontière de la vie, je commence un voyage étrange
Entre un père privé de ses sens et des enfants qui n’en ont point.
Pareil à l’âme qui gravit la peur de la mort qui dérange
Et qui atteint la connaissance curieusement à brûle-pourpoint.

Pareil au spermatozoïde qui perd son flagelle en entrant,
Ton ventre m’a ouvert sa porte mais mon corps est resté dehors.
À l’instar des humanoïdes qui sont sans l’état « pénétrant »
Je suis l’émissaire qui apporte son credo, son confiteor.

Juste avant d’entrer, ma requête fut : « donne-moi de nouveaux sens ! »
Et j’ai reçu l’ultravision qui voit par l’univers entier
Les interactions qui se commandent et envoient leurs réminiscences
Dans mon cerveau en collision dont ma vie est un vrai chantier.

Élysäé est la première à me transmettre sa présence
À travers une dimension de maternité spiralée
Bien au-delà de la lumière, là où l’espace-temps est nuisance
Avec des anges dont l’intention est de régresser Étoilé.

ORÉLION est la force ultime qui connaît le sens de la vie
Qui n’explique rien car elle EST l’origine et la destinée.
Il ne parle pas car il estime inutile selon son avis
D’expliquer l’Amour constellé à jamais indéterminé.

Car l’Amour n’est pas de ce monde ; c’est une énergie envoyée
De l’au-delà-de-la-lumière vers notre univers de la vie
Et qui après la mort immonde repart pour être renvoyée
Tant que la volonté première des dieux n’en sera assouvie.

Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux de le créditer.

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