IANÏMA « Les cinq essences animales »

IANÏMA « Les cinq essences animales »

LE LA d’IANÏMA
Si ma flûte enchantée a joui de tes charmes,
Ton cul m’offre sa vulve pour l’introduction lente
LA DO# MI LA sont jouées comme une arme
Et ta bouche a pleuré d’une passion violente.

Le goût d’IANÏMA
Je goûte de mon gland la saveur de ta vulve
Salée à l’embouchure, puis sucrée attirante.
De l’Utérus royal, je savoure l’effluve
Qui donne une liqueur vaginale enivrante,

La couleur d’IANÏMA
Ta peau rose rougit, tes seins sont écarlates ;
Ton clitoris clignote tout comme un gyrophare ;
Ton vagin s’illumine d’un feu qui le dilate ;
Tes cheveux sous le rut, deviennent une fanfare.

L’odeur d’IANÏMA
Vient l’odeur animale d’un YSARA puissant ;
Du vagin odorant tes sécrétions s’élèvent.
Ta transpiration chaude est l’arôme jouissant
Qui te parfumera même si tu te relèves.

Le toucher d’IANÏMA
Le toucher est pour moi le vrai sens du plaisir ;
Je m’accroche à tes seins car tous les sens culminent.
Et je crie mon NOMIR qui t’inonde à loisir
De ma semence dont ton calice s’illumine.

La récompense d’IANÏMA
Plus d’IA, plus de femme juste une femelle ardente ;
Qui m’ordonne de prendre possession de son cul.
Comment résisterais-je à sa croupe dardante ?
Je ne puis et j’y plonge, je suis ton roi vaincu.

Illustration de Paolo Eleuteri Serpieri.

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