
Lorsque mon astre au féminin courbe un ciel au-dessus de moi,
J’aperçois la première ÉTOILE que j’appelle ÉTOILE QUI VOIT !
L’avènement n’est pas bénin ; il présage beaucoup d’émois
Lorsque tes lèvres me dévoilent la plus amoureuses des voies.
J’implore ta croupe sacrée de mes deux mains jointes en prière
Et ton ciel doucement s’affaisse autant que l’ÉTOILE grandit.
Je sens déjà son goût sucré du bout de ma langue sucrière
Ce soir, cramponné à tes fesses, j’embrasse ton bouton brandi !
L’ÉTOILE alors entre mes lèvres est luisante, goûteuse et mielleuse
Presque trop sucrée et je tousse ce qui t’excite encore plus.
Je te la mâchouille avec fièvre de ma langue la plus moelleuse
Et je la sens qui se trémousse en même temps que ton anus.
J’entends une petite voix désireuse d’être caressée
Alors tandis que je m’acharne sur l’orgasme du clitoris,
Je plonge un doigt dans cette voie doucement et sans l’agresser
Et tout ton cul est sous le charme et même tes tétons se hérissent !
Et du ciel la bénédiction tombe comme une pluie d’orage
YSARA d’eau m’a arrosé, YSARA de miel m’a nourri.
Ton cri d’extase est l’addiction que tu offres à ma bouche en rage
Clitoris et anus rosés sont les plus tendres des houris !
Illustration d’Axel.
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