

Accompagnées de tambourin, de luth et de chansons d’amour,
Les baladines éveillaient l’attrait des mâles mélomanes.
Voiles azurins et purpurins dansaient au rythme des tambours
Et dévoilaient, émerveillés, leurs jolis corps érotomanes.
Shéhérazade sans aucun doute figurait le clou du spectacle
Lorsqu’elle chantait a capella l’histoire des mille-et-une nuits.
Tout l’auditoire à son écoute était saisi par le miracle
De cette voix qui excella à le tirer de son ennui.
Tableau de Kees Van Dongen sur http:pasperdus.canalblog.comarchives200710216561016.html .
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