
Les yeux aux ailes des papillons trompent l’œil de ses ennemis ;
Ainsi mes yeux qui papillonnent troublent le cœur de mon amie.
Sous les paupières ensommeillées de nos nuits blanches réfrénées,
Que de joies m’ont émerveillé, que d’amours m’ont rasséréné !
Tableau de Delphine Cossais.
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