
N’est pas forcément « con qui roule » celui qui fonce en solitaire
Dans une abstraction intégrale de ce qui vit autour de lui
Même si ses pensées s’enroulent comme un besoin parasitaire
D’un cercle vicieux cérébral pour se libérer de l’ennui.
Tableau d’Alice Wellinger.
Laisser un commentaire