La femme de l’ombre

Lorsque la lumière s’éteint, sa présence me sert de veilleuse
Comme une balise d’amour juste par sa respiration.
Comme une lanterne d’étain, mieux qu’une lampe merveilleuse
À laquelle Aladin, un jour, aurait donné l’inspiration.

Parmi les ombres de la nuit, au creux des ténèbres les plus sombres,
J’entends l’écho de son silence qui résonne dans notre chambre.
Quand elle se lève, quel ennui ! Impatiemment dans la pénombre,
Je l’attends avec vigilance presqu’en tremblant de tous mes membres.

Tableaux de Taras Loboda sur http:touchofcolorr.blogspot.com201801taras-loboda.html .

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