La route de Samarcande

Parfois la route de la soie se joue de méandres en lacets
Qui donnent un peu le mal de mer mais qui valent bien le coup d’œil.
Il faut garder par devers-soi tous ces virages entrelacés
Qui apportent un goût doux amer dans un voyage sans écueil.

Et puis Samarcande apparaît se découpant sur ciel d’azur
Et ses mosquées, ses mausolées, médersas ornées de faïence.
L’inquiétude alors disparaît et change au fur et à mesure
Les appréhensions désolées pour un sentiment de vaillance.

Illustration de Thomas Thiemeyer

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