
Il pleure sur la Terre triste comme il pleut dans les cœurs transis
Entre les hommes qui se battent et les collectrices de larmes.
Comme une pluie égocentriste qui renvoie les âmes en transit
De peur que le ciel ne rabatte ses nuages en tirant l’alarme.
La Terre pleure sans raison ses enfants les plus turbulents
Qui ont comme le fils prodigue leur héritage gaspillé.
Alors sur les quatre horizons, voyez la Terre accumulant,
De dépressions et de fatigue, tout son amour éparpillé.
Tableau de Catrin Welz-Stein.
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