


Et le repos survint aux champs comme tombé par la faucille
Exécutée d’un coup de reins en va-et-vient selon le foin.
À coups de serpe se chevauchant jusqu’à ce que la gerbe vacille
Et l’on se couche alors, serein, sous le soleil xx de juin.
Ah, qu’il est bon d’avoir semé la fertilité des campagnes
Après s’être tant exposé qu’on cherche l’ombre d’un poirier !
Pour une sieste parsemée d’un peu d’amour sur nos compagnes
Et de pouvoir se reposer puis, s’endormir sur ses lauriers.
Tableaux de Monet et Van Gogh.
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