

À force de me répéter « vivement qu’on soit vendredi ! »
Dès le lundi, j’en ai les larmes aux yeux qui rappellent la mer.
J’en ai le regard hébété du mardi jusqu’au mercredi
Et le jeudi sonne l’alarme : « plus que vingt-quatre heures amères ! »
Heureux comme un poisson dans l’eau, je batifole ce jour-là ;
L’aïoli devient un festin et la Bouillabaisse est divine.
Mais le week-end part au galop à tant faire la bamboula
Qu’arrive ce terrible destin… que tous les travailleurs devinent.
Tableaux de João Vaz de Carvalho.
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