
Pourvu d’un mécanisme Suisse et d’une interprète helvétique,
Le duo de dame donnait un sens au chant alémanique.
Le luth posé contre la cuisse dompté d’un archet frénétique
Vibrait, sonnait et bourdonnait sur d’anciennes lieds germaniques.
Le violon accordé au dos de sa compagne musicienne
L’accompagnait en continu de toute sa gamme étendue ;
Do Ré Mi Fa Sol La Si Do, répondaient les notes italiennes.
Mais pourquoi jouer les seins nus ? Mais pour le charme, bien entendu !
Tableau d’Igor Samsonov
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