

Bien que je ne sois ni lycanthrope, ni sorcier, ni goule, ni vampire,
Je me réveille pile à minuit quand la Lune est à l’apogée.
Mon cœur devient plus philanthrope comme si un amour l’inspire
Et mon âme se fond dans la nuit dans une synergie prorogée.
La Lune répand la dopamine qui m’apporte satisfaction,
Son halo, la sérotonine qui me transmet l’exultation.
La pleine lune, l’ocytocine source de la délectation
Et je sens de toutes mes racines remonter une expectation.
Tableaux de Didier Lourenço.
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