

En fin de mois du mois de mai, en harmonie aux jours de pluie,
Sous les averses exaspérantes, la mode est allée à vau-l’eau.
Les femmes portent désormais des robes en forme de parapluie,
Imperméables et transparentes, claires et limpides comme l’eau.
Si le printemps tardif d’avril nous a gelé le temps qui passe,
Le renouveau du mois de mai nous a mouillé le temps qu’il fait.
Les femmes aux robes fébriles sont restées au fond de l’impasse
Et celles qui s’y accoutumaient nous ont laissés insatisfaits.
Tableaux de Rafal Olbinski.
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