
J’ai écouté les ondes et j’ai vu leurs mirages
Mais ce n’était pour moi qu’une voie de garage.
Combien de caprices et combien d’enfantillages
Ai-j’au hasard laissés échouer sur cette plage ?
Je n’en regrette pas moins ce triste voyage
Les bons moments vécus, les tendres effeuillages
Seule la voix de la mer dans tous ses coquillages
M’accompagne encore tout au long de mon sillage.
Tableau de Fabienne Barbier
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