

Trop de coquetteries mondaines, trop de gestes inutiles et guindés,
Trop de mimiques incommodantes, trop de paroles et trop de bruit !
J’ai souvent cette peur soudaine de cette foule dégingandée
Qui se montre un peu débordante et me coince comme un presse-fruit.
Tableau de Lilia Mazurkevich.
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