


Quand Marianne siégeait à gauche, personne n’y croyait vraiment ;
Bien sûr, un matelas épais flattait ses fesses callipyges.
Son économie en ébauche termina par un défraiement
Puisqu’elle quitta son circonspect siège avant l’âge de quarante piges.
Quand Marianne siège en marche personne se saurait la croire ;
On ne sait plus où est le centre et ni la gauche et ni la droite.
On a subi de sa démarche tant de problèmes et de déboires
Qu’on n’sait pas c’qu’elle a dans le ventre, sans doute quelques pensées étroites.
Aujourd’hui Marianne nous montre qu’elle en a vraiment plein le dos ;
De tous ses actes antérieurs, le tout nouveau est débridé.
Finalement elle va à l’encontre de sa vie et sa libido
Et donc présente son postérieur à qui saura la dérider.
(Tableaux de Christian Hook sur https://www.christianhook.com/#!Reclining%20nude/zoom/cu53/image_hf4 .)
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