
Toujours entre deux opposés, ma vie oscille entre deux crises
L’illusion de gagner ma vie balance avec le temps perdu.
Mais comme je suis supposé m’adapter à chaque surprise,
Je ballotte entre ma survie et mon avenir éperdu.
La Grande Guerre – une première – suivie d’un temps d’entre-deux guerres
Ne put empêcher la deuxième comme si l’échec lui incomba.
Le confinement fait la lumière qu’on ne peut plus s’attendre guère
Qu’à un deuxième puis, un troisième tant que durera le combat.
Tableau de Andrew Ferez sur http:artsdumonde.canalblog.comarchives2016091534325116.html .
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