De l’autre côté de la glace qui miroite le monde à l’envers,
Vivent tous les déshérités qui n’ont pas l’droit de respirer.
Ce petit peuple se déplace tant bien que mal dans l’univers
Et se cachent, en vérité, des imbéciles mal inspirés.
Parfois dans mes rêves, j’inverse le sens de la réalité
Pertinemment je me retrouve du côté des expatriés.
Cette situation perverse me fait revoir l’actualité
Et j’examine et j’éprouve l’antagonisme approprié.
Illustration d’Oriol Vidal.
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