
Celle-ci a dû perdre son âme dans le portrait du photographe
Car elle me regarde de travers, derrière moi et au-delà.
Je ne vois naître aucune flamme, aucun atome qui vous agrafe
J’y perds mes rimes et mes vers avec cette Marie-couche-toi-là !
Photo d’Irene Liebler.
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