

Lorsque ces Dames partent en guerre, le roi, lui, reste à la maison.
Mais toute la troupe s’embarque accompagner leur souveraine.
Les chevaux, les tours qui naguère ont gagné toutes les saisons,
Et les fidèles à leurs monarques prêts à se tuer pour leur reine.
Des deux armées, chacun s’apprête à asséner le premier coup
Qui fera trembler l’adversaire et surtout le fera gamberger.
Les évêques se font l’interprète et tiennent les hommes par le licou
Par la prophétie nécessaire du psaume du coup du berger.
Tableau de Agnès Boulloche.
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