
Or, un jour la porte s’ouvrît, quelqu’un l’avait dû mal fermer.
« Je suis enfin un bélier libre ! » Pensa Roméo en courant
Vers d’autres lieux qu’il découvrit, d’autres animaux enfermés
Qui font la chaîne en équilibre de l’esclavage concourant.
Tableau d’Anita Køtlum Petersen sur https:www.a9ta.dkportfoliodyr .
Laisser un commentaire