

Toutes ces images des villes s’enfoncent inexorablement
Fondues au brouillard de l’histoire et les registres du passé.
Que le temps me paraît servile, qui passe impitoyablement
Au moulin de la préhistoire mon patrimoine compassé.
Les vieux magasins, les boutiques, les vieux troquets, les restaurants,
L’un après l’autre cèdent la place à la mode contemporaine.
Et les boulevards nostalgiques sont devenus expectorants
Par la pollution qui remplace la fumée des fêtes foraines.
Tableaux d’Alvaro Castagnet.
Laisser un commentaire