
Sur son corps nu, juxtaposé, le trou du cœur de son ombrelle
Filtrait le baiser de soleil pour un tatouage d’amour.
Mais quelle audace fallait oser d’utiliser la fenestrelle
Pour graver l’empreinte vermeil qui la parait d’un bel atour !
Tableau de Catrin Welz-Stein.
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