

Que revienne le temps des copines, que reviennent le temps des copains
Et les longues nuits où les chattes se languissaient de leurs minets !
Quand il y avait trop de cuisine, on conviait aussi les voisins
Chacun sa cruche, chacun sa jatte, chacune sa pipe, son robinet.
Les deux balançoires, ajustées à l’impudence des regards,
Permettaient à ces demoiselles, en se caressant le minou,
D’harceler et tarabuster tous les garçons un peu hagards
Qui lorgnaient le dieu des pucelles tout en se mettant à genoux.
Tableaux de Didier Lourenco.
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