
Quand le sommeil me déshabille petit à petit la conscience,
Au dernier vêtement ôté, j’atteins l’âme nue véritable.
Par conséquent, je m’éparpille, dans une impudique insouciance,
En rêvassant, déculotté, des fantasmes inexplicables.
Photo « Nu descendant l’escalier » de Gjon Mili.
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