Vagues de points

Quand l’ange de la nuit paraît, le jour se meurt dans un murmure ;
Quelques dernières sentinelles scintillent dans l’opacité.
Parfois une étoile apparaît comme nocturne enluminure
Sur les ombres sempiternelles qui envahissent la cité.

Point par point l’aurore réveille les vaguelettes ensommeillées endormies
Les sommets des mâts s’illuminent de petits faisceaux détournés.
Soudain un rayon de soleil perce la voûte émerveillée
D’un ciel ravi que s’achemine l’heur d’une nouvelle journée.

Tableaux de Ton Dubbeldam.

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