


Insignifiants ou ridicules, déguenillés ou bien sapés,
Souriants ou tristes à pleurer, le teint clair ou bien basané,
Les jeunes gens qui gesticulent, les gaillards, les handicapés,
Poussés ou à peine effleurés, tous les jours de toute l’année.
Je les observe de ma fenêtre, je les dévisage en terrasse,
Je les aime ou je les déteste, je les admire ou je m’en moque.
Ces gens, je dois le reconnaître, ont quelque chose qui m’embarrasse ;
C’est d’afficher, je vous l’atteste, toutes leurs pensées équivoques.
Images trouvées sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si les auteurs de ces images reconnaissent leurs travaux, je serai heureux d’en mentionner les noms avec respect.
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