
Point de repos, même le dimanche, pour le septième travail d’Hercule
Qui dut se retrousser les manches du matin jusqu’au crépuscule.
Point de mots d’amour à débattre et tant pis pour sa bien-aimée
Qu’il abandonna pour combattre et tuer le lion de Némée.
Sauf… que ce n’était pas un lion mais un taureau, un bel auroch,
Se comportant en trublion en Crète et non pas au Maroc.
J’en perds le grec et mon latin à lire la mythologie,
Perdu sur le mont Palatin, égaré loin de mon logis.
Quant à l’épouse – il en eut quatre, le champion fut un chaud lapin –
Pour qui alla-t-il donc se battre après avoir mis son grappin ?
Pas Mégara, trop rancunière, ni Omohale, catastrophée,
Ni même Hébé, la p’tit’ dernière, mais Déjanire qui eut le trophée.
Tableau de Georgy Kurasov sur http:www.kurasov.comindex.php?gals .
Laisser un commentaire