
Je ne connais de la mer rousse seulement sa sirène éponyme
Dont la chevelure m’évoque le crépuscule à l’horizon
Lorsque le soleil se courrouce envers les étoiles unanimes
À voir son règne qu’elles révoquent dans une infâme trahison.
Je ne sais si la Lune aussi a participé au complot
Mais la sirène depuis arbore une coiffure de la couleur
Du soleil brulé et roussi qui, vaincu, plongea dans les flots
Et que l’océan corrobore aux reflets de souffre-douleur.
Tableau de hoooook sur https:www.deviantart.comhoooookgallery43215575painting .
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