L’attente gauloise

L’attente s’en va en fumée sans rien laisser qu’un peu de cendres
Sur lesquelles le temps soufflera vers une amnésie dominante.
Juste des pensées consumées par l’esprit qui aime descendre
Vers le cœur qui m’insufflera l’espoir d’une fin imminente.

L’attente cesse brusquement, le train de vie reprend son cours
Qui m’emporte avec mes pensées que j’enferme dans ma valise.
Mon rêve né fantasquement soudain n’est plus d’aucun secours
Mais j’y reviendrai dépenser d’autres absurdes psychanalyses.

Illustration de Jean-Pierre Gibrat

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *