
Ce n’est pas l’homme qui bousille chaqu’ jour un peu plus sa planète
Mais Dieu qui a créé le monde avec maintes contradictions.
Métrosexuels en bas résille, femmes modernes et proxénètes
Ne seront plus jugés immondes mais victimes à leurs addictions.
Car Dieu nous a créé le mal pour en devenir dépendant
Au point de tuer père et mère et bien plus si affinités.
Ce côté obscur animal, tapi à notre corps défendant
Dans notre chair douce et amère, nous marque de sa divinité.
Alors après tout bousillons, dégénérons, multiplions
Puisque tel est notre objectif et la raison de notre vie !
Merci, Ô Dieu, et oublions avec tes anges trublions
Ce prétendu « bien » subjectif qu’ Tu nous baratine à l’envi !
Illustration d’Agim Sulaj
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