
Lorsque les oreilles se ferment, c’est qu’elles ne veulent pas entendre
Ou qu’elles ne sont pas disposées à capter toute mon attention
Comment faire pousser le germe de la manière la plus tendre
Qui saura les prédisposer à mes meilleures intentions ?
J’use de termes guillerets, légers comme des papillons
Qui porteront comme une plume mes phrases en lettres déliées.
L’œil s’ouvre avec un intérêt moins soupçonneux, moins tatillon
Et c’est à tout petit volume que je fais tomber ses piliers.
Ainsi je parle papillon mais juste de bouche à oreille ;
Mes phrases sont de mots légers et de lettres aux petites ailes
Qui entrent dans le pavillon de l’endormi(e) qui se réveille
De son rêve désagrégé en angora de filoselle.
Tableau de Moony Khoa Le alias Moonywolf sur http:sweetdreamsart.centerblog.netrub-moony-khoa-le-also-known-as-moonywolf–2.html .
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