
Malgré les soucis de la vie qui nous attirent vers le bas,
Malgré les fléaux dus aux charges que l’on ne cesse de nous brandir,
Le cœur épanouit se ravit de la rudesse du combat
Par l’amour qui, à la décharge du malheur, nous pousse à grandir.
Plus la gravité sera forte et plus la vie progressera
Comme une poussée d’Archimède qui nous remonte par surprise.
Lorsque se referme une porte, un pan de mur coulissera
Car le cœur trouve toujours remède quand l’intelligence lâche prise.
Tableau de Cyril Desmet.
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