

Les femmes aux cervelles d’oiseaux nous trompent depuis le début ;
Elles jouent les filles innocentes, pimbêches et superficielles.
Elles nous prennent pour des zozos dotés des pires attributs
Par la conscience abêtissante volatile et obédientielle.
« C’est mon p’tit doigt qui me l’a dit ! » lancent-elles à brûle-pourpoint
Avec l’intuition féminine et les mots qui s’y apparient.
Entre les dits et les non-dits ou les « Va ! Je ne te hais point ! »,
Derrière ces phrases sibyllines se cache un vilain canari.
Tableaux de Maria Pace-Wynters
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