Quand je monte mes fantasmes, l’amour est affriolant ; Faire l’amour en chaussettes ou sur la banquette arrière. Plus c’est drôle ou insolite, plus c’est intense et violent. L’amour sans la fantaisie, c’est la pire des barrières !
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Belle à peine ingénue émergeant de mes songes ; Hier encore sirène, aujourd’hui faite femme. Comme un arbre au printemps chargé de faux mensonges, Portant ses fruits de vie fors que mon cœur affame.
Deux yeux pour m’observer, deux yeux pour me nourrir, Une bouche à sourire, une bouche à plaisir. Sauras-tu contenter mon cœur prêt à mourir ? Sauras-tu me séduire au-delà du désir ?
Si souvent j’ai rêvé de ton visage tendre ! Tu courrais avec moi accrochée à mon bras. Si souvent j’ai prêté une oreille à t’entendre Rire de mon malheur quand mon âme sombra !
Mais tu as su plonger dans mes troubles abysses, Me prendre par la main lorsque je me noyais Et puis me ramener sur la rive propice Pour pleurer avec moi quand je m’apitoyais.
Sans prononcer un mot et sans faire un seul geste, Tu as su exprimer une chanson d’amour. Juste avec ta poitrine, tes hanches et tout le reste, Tu as su ranimer une flamme d’humour.
Nu dans mes pensées infimes, nu dans mes désirs ultimes, Je ne porte pas de masque ni la défroque des moines. Nu dans mes gestes usuels, nu jusqu’à mon âme intime, Je m’évade de la masse en me chamarrant la couenne.
Je saurai vous mettre à l’aise sans souci et sans complexe ; Je ne porte aucune arme, c’est là que réside le charme. Laissez-moi donc vous séduire par la valeur de mon sexe ; Allongez-vous sur mes vers et ne versez pas de larme.
Pendant que je vous déshabille, fermez les yeux en confiance. En ôtant votre corsage, respirez bien en détente. Tandis que glisse la jupe, ouvrez la bouche sans méfiance. Quand j’enlèverai la culotte, souffrez qu’un geste me tente.
Après avoir fait l’amour plusieurs fois dans la journée, Quand je vous aurai séduite et convertie à mes rites, Vous prêcherez ma parole, nue durant votre tournée, Tout en montrant votre corps et ses appâts émérites.
Je vous écrirai mes vers, le phallus dans votre bouche ; Je vous chanterai mes rimes en vous caressant les seins ; Vous m’inspirerez souvent pénétrée sur votre couche ; Vous brûlerez mes vaisseaux en créant de beaux desseins.
Prendre ses bains debout n’est pas très salutaire. Prendre des bains de boue, c’est un peu terre-à-terre… Archimède a trouvé qu’en plongeant son corps nu Les femmes ont envie de téter sa cornue.
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Elle est entrée sans bruit ; je n’ai rien entendu. Quand j’ai ouvert la porte de la salle de bains, Elle était toute nue comme de bien entendu Et parlait espagnol avec l’accent cubain.
« Te amo mi amor » m’a-t-elle susurré En écartant les jambes et me tendant les bras. Moi, je bandais à mort pas très bien assuré, Je lui ai répondu « yo también, me encanta! »
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Qui te rend si hardie de montrer tes appâts, Toi, à peine nubile et déjà débauchée ? Où donc est ta pudeur apprise chez papa, Quand tu cachais tes seins, juste à peine ébauchés ?
Les deux mains sur les hanches et le sexe en valeur, Le regard éperdu, juste un poil apeuré, Tu as l’air résignée, pas trop femme en chaleur, Les seins un peu figés, le pubis effleuré.
Qui est ce que tu méprises ? Est-ce toi, est-ce moi ? Est-ce de la pitié que je vois dans tes yeux Qui te trouble la bouche et trahit ton émoi, Mais permet toutefois cet esprit audacieux ?
Quand tu m’as fait l’amour tu étais partie ailleurs ; Ton corps mis au grand jour mais ton cœur dans la nuit Dans les pensées secrètes et l’orgueil chamailleur D’une fille hautaine et perdue dans l’ennui.
À cet air méprisant d’un juge accusateur, Je sais bien que je n’aurai jamais plus d’autre accès Quand j’aurai fuis ton lit démoralisateur Loin d’un cœur rabat-joie sans manque et sans excès.
À force de changer de couleur et de peau, À force de fêter des Noël toujours blancs, J’ai envie d’enlever le rouge de mes pots Et si ça ne suffit pas, je secouerai des glands !
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Quand la colombe de la paix rencontre celle de l’épée, Que croyez-vous qu’elles se disent derrière les murs bien épais ? L’une est à poil, l’autre est à plumes ; pour la pudeur, aucun respect ! Alors les colombes s’en foutent, l’important c’est d’avoir la paix !
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Le 22 décembre, j’apporterai ma hotte ; Le 23 décembre, je chaufferai ton feu ; Le 24 décembre, j’ôterai ta culotte ; Le 25 décembre, je t’aimerai un peu…
Le 26 décembre, tu es un peu salope ; Le 27 décembre, je t’aime un peu, beaucoup ; Le 28 décembre, tu me trompes Faloppe ; Le 29 décembre, je n’t’aime plus du tout !
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Un peu de paix, un peu d’amour et de douceur ; De l’espérance, des promesses qu’il faut saisir. Beaucoup de joie et de plaisir et de chaleur Dans la belle nuit de Noëlle et ses désirs.
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En cette belle fin d’année, pleine de promesses d’amour, Que la joie recouvre sa place comme une corne d’abondance. Par cette carte je t’embrasse avec les saints de tous les jours, Pour t’apporter un peu de moi et pour bénir ta descendance.
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Je t’envoie tous mes meilleurs vœux Et surtout ces deux seins magiques Qui veilleront sur tes cheveux Et rendront tes nuits énergiques !
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Quand je vois tes jolies boules et tes charmantes guirlandes, Mon bel arbre de Noël, tu es vraiment la plus belle ! Dès que minuit sonnera, j’ôterai ta houppelande Et décorerai ta crèche de mon goupillon rebelle !
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J’ai décoré mon sapin avec quelques mots d’amour. J’ai accroché mes pensées à ses rameaux grand-ouverts. 365 bougies qui brilleront tous les jours. 365 baisers de mon cœur à découvert.
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Tous tes souhaits de Noël seront ensemble accordés. Je t’envoie mille présents à déballer chaque jour. Chaque jour je te dévoile l’amour qui a débordé Pour te donner de la joie à chaque heure et pour toujours !
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Marie Noëlle, reine des fées et des forêts Que j’aime ta nature et surtout ta parure Lorsque tu la mets sur le valet, en bois décoré, Et que tu m’offres tes deux seins boules et ta jolie cambrure !
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Si mes pensées polissonnes vous paraissent un peu osées, C’est que ma chute d’airain m’a bien disproportionné. Car si l’âme a un beau cul et des seins bien composés, Je suis dans l’obligation d’y demeurer passionné !
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Qui te rend si hardie d’aller baiser ton âne ? Sont-ce ses grandes oreilles ou son sexe étonnant ? Pourquoi cinq filles nues lui préfèrent sa banane ? Il faut dire qu’en amour, l’art est si détonant !
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C’est ainsi que, le soir, la musique me berce Un corps nu m’est offert comme ultime instrument. Mon Dieu ! Quelles délices et amours me traversent Lorsqu’une femme m’offre un peu de ses tourments !
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Aussitôt qu’il passe à portée, je lui caresse son bourgeon. Il durcit prêt à m’allaiter, et ma bouche fait le plongeon Vers ce téton qu’elle suçote et qu’elle embrasse à tâtons, Puis le mordille et le barbote jusqu’à entendre son ronron !
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Elle avait cette manie d’être nue à la fenêtre. Devant cet écran offert, elle s’offrait son plaisir. Dans les cages d’escalier, on pouvait la reconnaître, Juste vêtue de nuisette, elle montrait ses désirs.
J’avais l’étrange manie de la voir à sa fenêtre, Vêtue d’un déshabillé qu’elle entrouvrait à loisir. Sachant sa nymphomanie, je sentais mon cœur renaître Car parmi d’autres amants, elle avait su me choisir.
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Ma Vénus a rajauni après nos millions d’étreintes. Sur sa peau parcheminée, je lui écris mes poèmes. À ses mains aux doigts frisés, je fais de belles empreintes Et son sourire illumine tous nos beaux jours de bohème.
Elle aime jouer du phallus qu’elle brandit comme un plumeau Avant de peindre l’amour brossé à même la bouche. Moi, j’ai besoin d’encrier pour y tremper ma plume au Plus profond ou juste au bord pour atténuer la touche.
Vénus adore se pencher en montrant bien haut son cul. Elle adore les surprises surtout quand elle est éprise. Moi, j’en appelle au génie, pour en être convaincu, Car les meilleures positions doivent être bien apprises.
Imaginez la bagnole : une belle américaine ! Mettez-vous à l’intérieur, ressentez-en la puissance ! Effleurez juste un bouton pour sentir vibrer la chaîne Du piston à mille temps du moteur magnificence !
Vénus est restée très jaune, pas besoin de garantie ! C’est un modèle ancestral qui n’est jamais démodé : Stradivarius de l’amour, un spécimen pressenti Qui transmet l’amour à deux dans des rythmes accommodés !
J’ai attendu que tu dormes pour faire ma déclaration Car je suis un peu timide et j’ai peur de t’offenser. Mais je ne suis pas un lâche ! Après ma préparation, Je prendrai tout mon courage parmi toutes mes pensées.
Je sais bien ce que tu souhaites ; tu veux être ma conquête ! Je sais aussi que tu espères que je sois ton chevalier Qui brave mille batailles jusqu’au terme de sa quête Pour t’avouer sans ambages que je suis ton cavalier !
Une femme est un cadeau, le plus beau, le plus exquis. Et lorsqu’elle me dit « je t’aime », je suis alors transporté Vers le paradis terrestre, une extase de whisky, Qui m’apporte mon ivresse et qui passe à ma portée.
Je vois bien que tu t’animes à mes paroles esquissées. Je vois dans tes yeux fermés que c’est ce que tu attendais. Et dans le creux de ta bouche, dans tes lèvres déplissées, J’entends le « oui » sur ta langue qui est en train de transcender.
Mais maintenant tu t’éveilles et mon cœur bat le canon ! Je tremble de tous mes membres et je traverse l’effroi ! Alors je te dis « je t’aime, je veux sur mon gonfanon Écrire que tu es ma reine, et que moi, je suis ton roi ! »
Comme elle aime la nature, elle s’est mariée nue ! Juste un voile déployé au-dessus sans la toucher. Le Soleil est son mari et ses témoins sont les nues Et ce soir au crépuscule, elle va pouvoir coucher.
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Mon cœur est à tiroirs et pour toutes les tailles : Ceux qui me donnent peu en ont un peu profond ; Ceux qui donnent beaucoup en ont un au détail ; Ceux qui donnent leur cœur ont un tiroir sans fond.
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Après l’acte sexuel, Vénus dort profondément. Elle rêve de peinture et de ses impressionnistes : Couleurs vives de Van Gogh qui brillent intensément, Dégradés doux de Monet jusqu’aux plus perfectionnistes !
Et puis les images s’allument et le songe est commencé. Elle se prend pour un « comics », une pin ’up de papier. Elle part pour l’aventure dans des amours élancées. Elle rêve au capitaine et ses mille et un guêpiers.
Sur les monts de ses mamelles, aux sommets des mamelons, Ils s’abreuvent de son lait et leurs cœurs sont enjoués. Puis ils pénètrent dans les grottes aux effluves de melon, S’arcboutant au clitoris, redeviennent des jouets.
Dans les allées sexuelles de la vulve imaginée, Ils atteignent le point « G » et découvrent ses secrets. Puis les tremblements de terre les envoient s’invaginer Profondément dans l’extase dans des camaïeux de craie.
Quand la planète fontaine ouvre son passage étroit, C’est l’éruption des plaisirs qui les éjacule au jour. Ils reprennent le chemin des étoiles et des détroits Et puis Vénus se réveille pour encore faire l’amour.
Cinq souvenirs éternels sont gravés dans ma mémoire : La beauté de son regard, enregistrée par mes yeux ; Le murmure de ses lèvres, aux oreilles de l’armoire, Celle sise au fond du cœur de mes souvenirs précieux.
J’ai toujours le goût en bouche de ses lèvres et de sa langue, De ses saveurs délicates sur tout son corps étendu. Mais le plus ancré de tous, c’est cette odeur qui me manque : Le parfum du sexe tendre, cet arôme défendu.
Lors de nos préliminaires, je sentais l’enchantement ! La moindre de mes caresses lui déclenchait le désir, Effleurer son mamelon provoquait gémissements, Toucher son petit bouton la détonait de plaisir !
Mais ce qu’elle aimait le plus, c’était se livrer au sexe, Couper son flux de pensées, déconnecter son esprit. Alors elle baissait la tête en position circonflexe Et me présentait son cul, chef unique et très épris.
Tout changeait en cet instant dès que sa bouche verticale Me parlait par sa fragrance qu’entendaient tous mes cinq sens. Pour lui donner la parole, mon pénis très amical La pénétrait par derrière dans le feu de son essence.
Elle avait cette habitude de s’étendre sur son lit, Laissant ses pieds sur le sol, à demi agenouillée. Puis, elle écartait ses jambes, m’incitant à l’hallali ! C’était sa façon sauvage de se faire enquenouiller.
Elle savait me surprendre et savait très bien jouer Aux jeux des amours coquines, c’était là tous son plaisir ! Les positions libertines la rendaient toute enjouée Et sa manière de faire m’obligeait à me ressaisir.
Elle était très inventive, je n’ai pas connu un jour Où elle n’ait pas procréé, une position d’amour. Je dois bien le reconnaître, de la cuisine au séjour, Nous avons, toutes les pièces, baptisées de nos mamours.
Cette femme aux deux visages savait comment me parler : De ses yeux ou de ses seins, je ne savais où lorgner, De sa bouche ou de sa vulve, je ne savais où baiser, De son nez ou son nombril, je ne savais où humer.
Cette femme est au physique ce que l’amour est à l’art ! Si mes rimes sont un peu riches, c’est à elle que je le dois ! Elle a su ouvrir mon cœur et mon goût du papelard. J’aime lui tremper ma plume ou le faire avec les doigts.
Adieu mes vêtements et bon vent dans les nues ! Je suis libre ce soir et j’enlève mes voiles ! Pour toujours je suis moi, et mon cœur est à nu ! Faites vite comme moi et baignons-nous d’étoiles !
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Vêtu d’habit de papillon, je viens souvent revoir ma fée. Je me pose sur son épaule et je remonte sur son cou. Je me perche sur ses oreilles et je lui dis ce qu’on m’a fait, Tous les tourments de tous les jours, les chagrins et les contrecoups.
Elle me soigne d’un baiser du bout de ses lèvres sucrées. Mes ailes frémissent de bonheur et s’illuminent de chaleur. Lorsque je me sens apaisé j’ai très envie de consacrer Tout mon amour reconnaissant en caresses et en valeur.
Je vais sur chaque mamelon, butiner le lait goutte à goutte Et je me fixe entre ses seins comme un joli nœud papillon. Puis je descends, carte du ventre, le chemin qui trace ma route, Je fais mon nid dans son nombril et là je pique un roupillon.
Quand la lumière a décliné, je m’enfonce dans les fourrés. Je passe le Mont de Vénus et je m’enfonce dans les terres. Près de la source de l’aven, là est la porte enamourée Qui s’ouvre en choyant le bouton de sa jolie propriétaire.
Ça ressemble à un mamelon mais plus sensible et frétillant. La source, ici, ne perle pas mais jaillit comme une fontaine. Quand je lui ai fait les honneurs de mon amour émoustillant, Je reçois un cadeau magique et ma forme redevient humaine.
Je mets les mains sur ses épaules et je lui caresse la nuque. Je murmure « je t’aime » à l’oreille et je lui parle du bonheur. Je me sens bien entre ses mains et comme je ne suis pas eunuque, Je sens bientôt une érection ; je lui en réserve l’honneur.
Baisant des lèvres les mamelons et lui pétrissant les mamelles, Je me faufile dans le sillon montré par la carte du tendre. L’entrée est comme un coup de fouet, depuis la tête jusqu’aux semelles. La suite est rituel magique que je tairai pour la défendre.
C’est à l’échange de nos fluides dont nous partageons le calice Que Cérès donne nourriture à l’un comme à l’autre en silence. Sa terre absorbe ma semence, je goûte son lait en délices, Nos cellules se régénèrent dans une forme d’excellence.
Et je redeviens papillon, mes ailes sont de plus en plus belles ! Je m’éloigne paisiblement, je vais rejoindre mes amis. J’ai beaucoup à leur raconter, j’ai beaucoup de bonnes nouvelles. Si je veux redevenir humain, j’ai ma fée en monogamie.
Gratte-moi bien fort, gratte-moi encore Pars du haut du dos et descend plus bas J’ai trop de tensions et des haut-le-corps Donne-moi du plaisir et ne t’arrête pas !
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Si l’amour dos-à-dos est assez rigolo Il demande aux amants mille comportements Il faut savoir baiser, c’est pas toujours aisé Dans cette position qui réclame attention !
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Voilà, elle est fâchée et me tourne le dos. Elle a encore une fois trouvé mal à-propos Mes petits commentaires d’un aficionado Qui rabote les cœurs et en fait des copeaux.
Troubadour dans les cœurs en recherche d’amour, En voulant le bonheur, je sème les malheurs. Je le savais déjà même avec de l’humour, Je n’ai fait que détruire nos précieuses valeurs.
Je ne trouve pas les mots car je sens la souffrance ; Chaque fois que je rime ça rallume la flamme. Le désir quelquefois change les apparences Et le cœur qui dévie fait scandale à mon âme.
Vénus, si tu m’entends, aies de la compassion ! Tes tourments me transpercent et le cœur et l’esprit. J’en appelle à l’amour qui court dans la passion Où naquit l’amitié et mourut l’incompris.
Nul besoin de pardon quand il n’y a pas d’offense. Tous nos conflits intimes n’en ont pas la substance. Toutefois je déplore d’abaisser tes défenses Et j’implore à ton cœur d’effacer la distance.
Un petit air mutin caché derrière ses yeux, Elle rumine une envie là, derrière la tête, En train de calculer le coup acrimonieux Qu’elle va m’envoyer quand ce sera ma fête !
Car Vénus est ainsi ; elle prépare ses coups ! Jamais vous ne la verrez répondre au tac-au-tac ! En joueuse d’échecs, elle réfléchit beaucoup, Puis soudain, c’est l’idée ! Elle repart à l’attaque !
Elle est calculatrice et est ascendant Vierge. Très précise et concise et quelquefois pensive, Le souci du détail pire qu’une concierge Pour vous faire des critiques plus ou moins excessives.
Mais elle sait écouter, c’est ce qui la diffère De toutes les autres femmes, c’est celle que je préfère. Beaucoup de compassion, mais rien ne l’indiffère Elle a de l’intuition, souvent je m’y réfère.
Ô Vénus, mon amie, ouvre tes jolis yeux ! Lance-moi ton regard si miséricordieux ! De l’esprit ou du cœur ton meilleur allié C’est celui de l’amour où je suis relié.
Mais quel est donc ce château que j’aperçois du rivage ? Il m’a l’air abandonné, isolé dans ses murailles. J’en ignore le chemin, je n’en vois pas le pavage. Prête à Dieu de me montrer le secret de ses entrailles !
C’est en parcourant les rues, au hasard de ces venelles, Que j’ai trouvé l’escalier montant sur la plateforme. Que de ronces et d’herbes folles, fort peu coopérationnelles, Se dressent sur le passage aux effluves de chloroforme !
Parvenu jusqu’au portail de l’étrange forteresse, J’ai gravi tous les degrés des marches de la terrasse. La porte était verrouillée par une clef enchanteresse Que j’ai repêchée d’un puits camouflé dans la fourasse.
Me voici dans le grand hall que les ténèbres compliquent, Mais j’ai ouvert les volets, fait pénétrer la lumière. J’ai emprunté un couloir jusqu’à l’escalier magique Et j’ai atteint le palier enseveli de poussière.
C’est dans la chambre du fond qu’était la belle endormie. Dans un lit à baldaquin sous des tentures dorées. J’ai ouvert les tabatières envahies par les fourmis, Le soleil a pénétré dans la pièce mordorée.
Il a suffi d’un baiser, là, juste au creux de ses seins, Pour voir sa peau s’animer d’infimes tressaillements. Quand elle a ouvert les yeux, pas besoin de faire un dessin Pour comprendre en ce moment l’esprit de son bâillement.
L’histoire finirait ainsi si je n’étais indiscret, Car la belle m’a enlevé et m’a ouvert l’univers. Je m’en veux mais j’ai promis de préserver le secret, Car une nouvelle dimension m’a sorti de mon hiver.
Son austère regard et son corps interpellent. D’une allure trapue de souche paysanne, Elle semble à première vue sortie de sa chapelle, On la croit bien naïve et bête courtisane.
Elle ne révèle rien de tout ce qu’elle pense. Derrière ses yeux fermés son âme est insondable. Ses gestes sont limités avec indifférence ; Peu de charme opérant d’un attrait fécondable.
Mais c’est toute sa force qui la rend si étrange ! Elle arrive à dompter les mâles qui la conquièrent. Quand ils l’ont pénétrée de leur mâle phalange, Elle serre son sexe et broie leur aiguillère.
Ses victimes l’appellent la Fée Casse-noisette ! Elle se plait à serrer ses mamelles puissantes, Puis à serrer les fesses sortant de sa nuisette Et mimer de son sexe une étreinte cassante.
Sa force herculéenne a son juste opposé : Si contre tout assaut elle riposte d’ardeur, Devant toute tendresse elle se montre disposée Et redevient câline en dégrafant son cœur.
Madame la liseuse est parfois bien songeuse. Elle vit en balance, le corps entre deux mondes. Est-elle ici ou là ? Elle est très voyageuse. Perdue dans ses atlas et dans ses mappemondes.
Va-t-elle s’habiller ou rester toute nue ? Peut-être juste un châle, ou un déshabillé ? Juste vêtue d’un voile sur son corps ingénue, Fardée jusqu’aux paupières, ou bien démaquillée.
Plongée dans ses lectures, elle est aventurière, Captive du désert, recluse au harem, Parfumée, ointe et nue, elle se fait meurtrière Pour être la favorite pour le pouvoir suprême !
Le soir elle se donne aux fantasmes érotiques, Un peu pornographiques et se fait libertine, En prenant quelquefois des poses acrobatiques, Se caressant la vulve et sa jolie poitrine.
Quand je passe la voir, je sais la captiver : Je lui lis mes poèmes et mes contes de fées. Elle se fait actrice et pour la motiver, Je lui refais l’amour jusqu’à la décoiffer.
Elle bronzait nue, là dans les calanques. Elle offrait son corps aux yeux des passants. Moi qui traversais, coupant la salanque, J’avais le regard fort embarrassant.
Ses bras écartés, posés sous la nuque Tendaient sa poitrine aux rayons cuivrés. Moi qui suis normal, pas même eunuque, Mon cœur battait fort jusqu’à m’enivrer.
Elle était sans voix, la belle sirène, Pour ce rendez-vous, elle avait troqué Sa queue de poisson avec sa marraine Contre sa parole qui restait bloquée.
Pas une parole ne sortait de sa bouche. Ni des mots d’amour, ni des mots sucrés. Je n’ai pas compris si j’avais la touche ; Notre liaison était échancrée.
J’ai pris une plume pour écrire alors Quelques mots d’amour sur son joli corps. Elle a répondu brandissant mon sexe Pour tracer sur moi le texte réflexe.
Pour communiquer nous utilisons Ma plus grosse plume et son encrier. Chacun à son tour, face à l’horizon, Faisons couler l’encre jusqu’à en crier !
Elle a tant bramé qu’elle a retrouvé Sa voix et le charme s’est évaporé. Ondulant sa queue sans désapprouver Elle s’est enfuie, là, toute éplorée.
Si à votre tour, vous la rencontrez, Nue et allongée dans une calanque, Pour rompre le charme et pour le contrer, Je n’ai pas d’idées et je suis en manque…
Je passais souvent devant sa fenêtre, Elle avait appris à me reconnaître. Au son de mes pas, elle avait compris Que je m’approchais ; j’en étais épris.
Elle était coquine et savait montrer Ses charmes indiscrets et les démontrer. Elle posait nue devant sa fenêtre En sachant très bien ce qui allait naître.
Vous l’avez compris, la belle ingénue Était séduisante au-delà des nues ! Mes yeux se posaient tout déshabillés Sur cette poitrine toute émerveillée !
Des seins merveilleux qui me regardaient Tout droit dans les yeux et me provoquaient. Quand je m’arrêtais devant sa fenêtre, Elle se relevait pour me compromettre.
Les mains sur les hanches, les jambes écartées, J’étais fasciné devant sa beauté. Son sexe épilé semblait murmurer « Viens me délivrer, je suis emmurée ! »
J’ai frappé un coup au pas de sa porte, Tant pis si j’ai tort, le diable m’emporte ! Elle m’a ouvert, tout comme une offrande Elle m’a offert enfin de la prendre.
Elle avait l’air ailleurs, perdue dans ses pensées. Elle qui était toujours dynamique et enjouée. Qui a pu la blesser, qui a pu l’offenser, Pour arborer ainsi une mine bafouée ?
On a dû la surprendre, elle a dû se méprendre. Il est des situations difficiles à prévoir, Parfois imprévisibles, délicates à comprendre Et qui laissent le cœur teinté de désespoir.
Son esprit est figé et son cœur est blessé. Elle a le corps vidé de sa source de vie. Son regard est lointain et son âme oppressée Tente de retrouver l’aide pour sa survie.
Je la connais si bien, Vénus, ma tendre amie. Je suis allé la voir avec l’ami Saturne. Seul le Maître du temps peut panser l’infamie Et lui faire quitter ses pensées taciturnes.
Parfois Vénus se penche avec beaucoup d’aisance. Elle baisse la tête pour changer sa vision. Elle se moque bien comment est sa prestance, Elle ne cherche pas à faire division.
Son cul par-dessus tête vous parait ridicule ? Mais elle vous parodie les positions d’amour ! Si elle passe la tête dessous sa clavicule C’est pour pointer ses seins d’un zeste plein d’humour !
Quand elle est avec moi, c’est « Vénus Tête Folle » ! Elle joue à des jeux qui me dépassent un peu… Lorsque je lui mordille ses petites aréoles Elle fait le poirier et crie « Sauve qui peut ! »
Quand elle fait l’amour, elle est trop rigolote Et jouit en riant dans des fameux fous-rires. Elle se met en jupe sans mettre de culotte Juste pour se pencher et vous faire mourir !
Elle parait fantasque et un peu allumeuse, Mais elle agit ainsi pour vous déconcerter. Elle joue de son corps tout comme une escrimeuse Et se sert de son cul en toute liberté !
Quand Vénus me regarde de ses seins plantureux, Les épaules écartées et la tête en arrière, Je sais bien que c’est pour un baiser langoureux À sa bouche entrouverte aux amorces fessières !
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J’ai épousé la mer, j’ai marié la sirène Nous nous sommes connus une nuit sans étoile Elle est de sang royal et d’âme souveraine Elle prend des bains de Lune et couche sous mes voiles
Cet échange de sang n’est pas un accident, Il a été gravé sur notre destinée. Notre histoire est connue d’orient en occident Et notre engagement était prédestiné.
Ma princesse vit nue au milieu des rochers, Juste une fleur plantée dans ses cheveux au vent, Coquillages nacrés aux lobes accrochés, Maquillée de rosée et de fards innovants.
Elle vit de soleil et de rayonnement, La Lune est son croissant, le ciel son élément, La mer est son berceau, son enracinement Et moi je la nourris tous les jours en l’aimant.
Son corps est un hommage à sa mère la Terre, Ses seins sont des fruits d’or au sirop excitant, Son ventre cache un trésor, creuset humanitaire, Et j’y verse la vie de mon cœur palpitant.
Quand une femme est nue, on lui voit bien son cul ! Quand l’homme l’est aussi, on n’voit pas son zizi ! L’art est bien misogyne pas assez androgyne ! Si on me le demande, j’en montrerai qui bande !
Image trouvée sur Pinterest sans indication de provenance et de source inconnue. Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Il est l’ange déchu, il a perdu ses ailes, Il a trahi l’amour par un excès de zèle. Pour une femme-enfant au cœur de demoiselle, Il a trahi les siens, son nom est Yeiazel.
Il n’est pas très méchant, juste un ange souffrant Qui n’a pas trouvé mieux après être l’offrant De blesser les humains d’un orgueil un peu franc, Afin de soulager son propre châtiment.
Il est anorexique, même un peu anémique, Autiste envers ses proches, surtout patronymiques. Pour gérer ses souffrances assez tragicomiques, Il a semé le mal et c’est cataclysmique !
N’y a-t-il d’autre moyen pour trouver le bonheur Que d’affliger les autres dans un profond malheur ? Être épanoui heureux appelle aux zizaneurs À chercher noise aux autres, médire à l’extérieur ?
Il était le plus beau et le plus prometteur ! L’auréole a terni, il n’est plus émetteur. Ange de compassion, il n’est plus transmetteur. Il exhorte l’amour mais ce n’est qu’un menteur !
N’est-il pas humiliant de savoir qu’un nanti N’aime pas que l’argent, mais d’être garanti D’être seul à jouir et rester pressenti à vivre intensément ; les autres au ralenti.
J’ai longtemps eu du mal, pouvoir m’imaginer, Ce qui fait le méchant, qui l’a incriminé. Mais son cœur a souffert ; et cette âme ruinée Cherche à nous entraîner et nous contaminer.
« Il n’y a pas de personnes méchantes. Il y a seulement des personnes souffrantes qui n’ont pas trouvé d’autres moyens que de blesser les autres pour gérer leur propre souffrance. Quand nous sommes épanouis et heureux, avons-nous envie de chercher des histoires aux autres ? » Catherine Ikalayos
La femme à soixante ans est toujours attirante. Elle a, au fil des ans, acquit l’âme vaillante. Elle va souriant dans sa vie rayonnante. Elle vit patiemment dans la voie souriante.
Elle a, évidemment, une humeur chancelante. Elle a mille tourments mais jamais défaillante. Tous ses millions d’enfants dont elle est bienveillante Lui rappellent tout le temps sa nature accueillante.
J’ai pour elle vraiment une pensée charmante. Elle est belle et pourtant restera flamboyante ! Dans mon cœur cet enfant demeurera brillante Car elle est maintenant à jamais pétillante !
La femme à soixante ans est toujours attrayante. Son cœur a soixante ans, son âme est clairvoyante. Elle offre à ses amants une peau croustillante. Ses soixante printemps la rendent émoustillante !
Je parcours cette lettre qui me relie à toi Les sillons de ton encre tracés par tes doigts Sont milliers de caresses qui se fondent sur moi Et me rappellent encore pour longtemps nos émois.
Tes rimes sont un chant qui chante à mes oreilles. C’est la douce chanson qui sourit à mon cœur. Chaque mot s’harmonise comme nul autre pareil. Une symphonie d’amour dans un rythme moqueur.
Aussitôt commencé, là, mon pouls s’accélère ! Il me tient en haleine et je n’aurai de cesse Que de le terminer de mon auriculaire Qui en parcourt les lignes de ma main de princesse.
Demain je t’écrirai juste deux ou trois lignes. Je n’ai pas comme toi ma plume qui fleurit. Elle est simple et exprime entre les interlignes Que je t’aime d’amour Ô toi ma seigneurie.
Ce baiser est pour toi, toi qui m’ouvre les bras. Je te donne mon souffle, je ne respire pas. Quand tu m’offres ta bouche, mon cœur vole en éclat Et mon âme est déjà partie au Canada !
Je parcours de mes mains ton corps incandescent. La chaleur envahit mon sexe tumescent. En réponse à tes seins, mamelons turgescents, Je les oints de ma bouche ; baiser effervescent.
Et pour joindre à l’extase nos deux corps découverts, Je brandis comme langue mon phallus de trouvère. Je l’enfonce dans la bouche de ton sexe entrouvert Et on t’entend gémir d’ici à Vancouver !