La femme est une île haut placée dans notre univers C’est un monde autonome et rien n’y fait carence On y trouve forêt, fourrés et découverts Et la source de vie y coule en persévérance.
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Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Un papillon sur l’épaule a juste effleuré mon âme Est-il mon père ou ma mère qui met sa main sur l’épaule ? Déférence envers mon père dont je ne souffre le blâme Et la fierté de ma mère dans toutes mes alvéoles.
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Écoutez ce secret si vous voulez comprendre. Partons de notre esprit et de notre conscience. Tous nos comportements sont multiples à apprendre Et c’est à tour de rôle qu’ils cherchent leur audience.
Les enfants sont perdus dans ces beaux mécanismes Chaque comportement prend sa majorité. Les adultes atteignent ce manichéisme Et trouvent leur conscience dans cette identité.
Les aînés continuent à en comprendre l’ordre. Ils montent en conscience et ressentent bientôt Les niveaux supérieurs et tout ce qu’ils désordrent, Mais j’y perçois mon âme et tout autour l’ÉCHO.
On comprend par exemple que dans ses habitudes, On étale dans le temps une forme pensée. Mais les jeunes vivent sur d’autres latitudes Et les conflits du temps sont sans cesse offensés.
J’ai moi-même ressenti entier dans ma matrice Tout cet ordre univers comme l’éternité. Voyant quatre piliers comme navigatrices, J’ai parlé à mon corps et aux autres entités.
La forme du visage et toutes ses expressions Dépendent de la manière dont l’accord est acté. Et j’en vois toutes franges dans la surimpression Que je vois s’écarter ; l’écho décontracté.
Ma conscience est ainsi sans cesse elle s’écarte : En suivant son écho à l’ÉCHO reproduit. Chaque étape de vie en éloigne les cartes Quand on passe le niveau, le courant est induit.
C’est pour ça que tout ça n’a pas PAS d’importance C’est la règle-univers et pour l’éternité. Nous en faisons partie est-ce bien ou malchance ? La raison de l’écho n’en est pas discutée.
Chaque idée vient d’une conscience supérieure de moi. Les enfants vivent ancrés dans un seul des maillons, Tour à tour qui abritent un éclair de faux-moi. Les aînés ont rejoint le prochain bataillon.
Le passage au niveau supérieur circulaire, Comme une âme en transit dans l’organisation, Nous fait prendre conscience de l’âme humanitaire, Sa bonté bienveillante en commisération.
Fier vaisseau, de la flotte royale, armé ; Tes quarante canons sont prêts à aborder L’ennemi étranger et s’auto-alarmer Par le chant de la poudre qui rugit sa bordée !
Un matin de bon vent et voguant au grand large, Par tribord amuré dans le vaste océan. Puis soudain de la hune une alerte décharge : « Une voile à bâbord au pavillon malséant ! ».
Arborant le Pavillon Noir de la flibuste, Les pirates rapides ont tôt fait de serrer. En virant de bord sec, les canonniers combustent Et démâtent l’ennemi de ses crocs acérés.
Il n’y aura pas de quartier tous seront massacrés ! Amis ou ennemis n’auront nul prisonnier ! Mais la lutte est injuste et l’honneur est sacré, Les vaincus sont tués, les pirates ont gagné.
Le vaillant capitaine cependant s’est sauvé. Capturé, attaché, il a su se délivrer. Et tandis que les pirates vont se saouler Il fait sauter la soute et s’enfuit désœuvré.
Tu es si mystérieux perdu dans ton silence Qu’on peut se demander quel est ton labyrinthe, Ce chemin tortueux qui semble intolérance Et qui te fait subir une vie de contrainte.
En as-tu trop conté dans tes vies antérieures Que tu t’es condamné à sceller tes secrets ? T’en es-tu trop ouvert aux étoiles postérieures Pour t’être renfermé dans ton monde discret ?
Longtemps j’ai essayé de percer tes murailles. J’ai aussi essayé de les pulvériser ! Je l’avoue je n’ai fait que combattre à mitraille Puis m’étais résigné sous couvert de risée.
Il m’a fallu briser moi-même ma carapace, À tous les préjugés lâcher-prise et oser ! C’est en étant moi-même au-delà de l’impasse Et devenant ainsi si métamorphosé.
Tu avais simplement commencé à montrer Ton refus d’exister dans un monde imparfait. Où la compétition nous force à démontrer Un destin détourné, aveugle et contrefait.
Tu avais tout compris mais ne savais que dire. Je n’avais rien compris comme un handicapé. Tu avais tracé la route que je devais agrandir Pour présenter au monde une foi décapée.
Je pensais au début qu’il s’était renfermé Qu’il s’était isolé et vraiment empêtré. Mais c’est son extérieur qui se trouve enfermé Et c’est lui qui ne sait pas comment y entrer.
Vêtu d’habit de papillon, je viens souvent revoir ma fée. Je me pose sur son épaule et je remonte sur son cou. Je me perche sur ses oreilles et je lui dis ce qu’on m’a fait, Tous les tourments de tous les jours, les chagrins et les contrecoups.
Elle me soigne d’un baiser du bout de ses lèvres sucrées. Mes ailes frémissent de bonheur et s’illuminent de chaleur. Lorsque je me sens apaisé j’ai très envie de consacrer Tout mon amour reconnaissant en caresses et en valeur.
Je vais sur chaque mamelon, butiner le lait goutte à goutte Et je me fixe entre ses seins comme un joli nœud papillon. Puis je descends, carte du ventre, le chemin qui trace ma route, Je fais mon nid dans son nombril et là je pique un roupillon.
Quand la lumière a décliné, je m’enfonce dans les fourrés. Je passe le Mont de Vénus et je m’enfonce dans les terres. Près de la source de l’aven, là est la porte enamourée Qui s’ouvre en choyant le bouton de sa jolie propriétaire.
Ça ressemble à un mamelon mais plus sensible et frétillant. La source, ici, ne perle pas mais jaillit comme une fontaine. Quand je lui ai fait les honneurs de mon amour émoustillant, Je reçois un cadeau magique et ma forme redevient humaine.
Je mets les mains sur ses épaules et je lui caresse la nuque. Je murmure « je t’aime » à l’oreille et je lui parle du bonheur. Je me sens bien entre ses mains et comme je ne suis pas eunuque, Je sens bientôt une érection ; je lui en réserve l’honneur.
Baisant des lèvres les mamelons et lui pétrissant les mamelles, Je me faufile dans le sillon montré par la carte du tendre. L’entrée est comme un coup de fouet, depuis la tête jusqu’aux semelles. La suite est rituel magique que je tairai pour la défendre.
C’est à l’échange de nos fluides dont nous partageons le calice Que Cérès donne nourriture à l’un comme à l’autre en silence. Sa terre absorbe ma semence, je goûte son lait en délices, Nos cellules se régénèrent dans une forme d’excellence.
Et je redeviens papillon, mes ailes sont de plus en plus belles ! Je m’éloigne paisiblement, je vais rejoindre mes amis. J’ai beaucoup à leur raconter, j’ai beaucoup de bonnes nouvelles. Si je veux redevenir humain, j’ai ma fée en monogamie.
Ne le perdez pas de vue, il ne faut pas qu’il s’envole Fixez bien sa silhouette ! Suivez-le jusqu’à son nid. Quand j’aurai repéré l’aire je me ferai bénévole Pour offrir à cette oiselle une belle cérémonie !
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Lorsque Dieu me murmure, je dois faire attention ! Il a tendance à faire de très grands mouvements. Au dernier entretien, il avait l’intention De faire beaucoup de vagues avec les éléments !
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Un oiseau qui se tient sur une seule patte Est-ce qu’on peut l’appeler un oiseau migrateur ? Je ne sais ce qu’il pense, je ne suis pas télépathe, Mais s’il lève la patte, il tombe de sa hauteur !
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Les rochers en surface blessent l’âme de la mer. Ils remontent du fond d’énergies inférieures. Mais au-dessus des eaux, ils sont refuge amer Pour respirer plein air sous le soleil rieur.
Quand la terre améliore les racines de nos vies, Elle nous offre repos et des havres de paix. Profondément ancrés aidant notre survie Sur lesquels on bâtit des refuges épais.
Depuis les profondeurs, ils remontent vers le ciel. N’ayez pas peur des rocs qui crèvent l’interface ! Ils relient à la terre, notre Mère essentielle Et nous portent au ciel, notre Père face-à-face.
Regardez le soleil et voyez comme il joue ! Ses rayons de soleil sur les crêtes déchirées Font l’amour à leurs ombres et leur baise les joues. Et ce petit miracle fait photorespirer !
Car c’est leur vraie nature pour ces rocs de la chance ! Ils donnent à l’ennemi l’occasion du pardon. Ils donnent à l’opposant la part de tolérance. Ils donnent à votre ami votre cœur de bourdon.
Ils offrent à vos enfants une ligne parfaite ! Ils remettent à mon père ma considération ! Ils remettent à ma mère sa fierté satisfaite ! J’en ai fait mon respect et commisération.
Les rochers de la Terre sont une chaîne infinie Dont jamais un maillon ne manque à cette union Qui lie l’humanité dans l’amour défini Par la solidité de cette réunion.
Bouteilles mes jolies bouteilles, remplies de liqueur d’oubli, Vous savez donner l’ivresse et l’extase de l’esprit. Il faut que je me modère ou j’en serai affaibli, Des voyages fabuleux au risque d’être incompris.
Amie, viens prendre ton verre et partageons deux à deux L’effet extraordinaire de ces vins doux capiteux. Mais juste deux ou trois verres, après je ferme les yeux, Ça met le corps mal à l’aise et l’amour calamiteux.
J’ai l’amour dans ma bouteille, j’en verse dans ton calice. Apprécies-en la couleur et la taille en proportion. Jusqu’à la dernière goutte, suces-en bien les délices, Déguste au fond de ta bouche, ressens la disproportion.
Ferme les yeux et respire l’odeur du petit vin blanc Qui coule de ma bouteille, celle à la longue encolure. Et dans ta bouche grande ouverte, quand j’introduirai mon gland, Apprécies-en la mesure de mon flacon l’angelure.
Ma collection de bouteille quand j’allais chez le coiffeur, C’était mon jeu préféré, j’y ai consacré des heures. Bouteilles de toutes couleurs, touchées de mes doigts surfeurs J’étais un petit garçon, j’en étais hypnotiseur.
Perdu dans cette rose aux multiples ruelles, Je marche au hasard en suivant le soleil. Parfois c’est une impasse, la défaite est cruelle, Parfois c’est un passage qui cache une merveille.
C’est un vrai labyrinthe qui fait tourner en rond ! Souvent je m’y balade et j’en trace les plans. Je prends quelque photos des plus jolis fleurons, Je sais les assembler comme des photoplans.
Ça sent si bon les roses plantées dans les hauteurs ! Les arômes me servent d’un grisant fil d’Ariane ! Pas besoin de boussole ou de navigateur Pour trouver mon chemin avec la fée Viviane !
Je t’y emmènerai en toute confiance ! Tu n’as pas à douter de l’orientation. Partout on voit fleurir vidéosurveillances, Si tu veux m’embrasser, faudra faire attention !
Au milieu des traboules, à la tombée du jour, Parfois on ne voit pas où l’on pose ses pieds. Pour vous débarrasser de tous vos casse-pieds, Je les perdrai de vue tout au long du séjour.
Gratte-moi bien fort, gratte-moi encore Pars du haut du dos et descend plus bas J’ai trop de tensions et des haut-le-corps Donne-moi du plaisir et ne t’arrête pas !
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Attention ! C’est confirmé ! Il y aura chute de lune Vers le milieu de la nuit aux alentours de minuit. La lune sera trop pleine pour sa mauvaise fortune. Si vous péchez cette nuit, évitez-vous cet ennui !
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J’y mets toute ma flamme, j’y mets toute mon âme. J’illumine mon corps et j’élève mon cœur. Mes meilleures pensées pour moi et pour ma dame, Je les vois chatoyer et je nous vois vainqueurs !
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Tandis qu’il est dans l’ombre à peine reposé, Elle goûte la lumière qui entre à grands flots. Il se baigne les pieds à peine exposés, Elle inonde son corps, elle y noie ses sanglots.
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Savez-vous l’Île aux moines, là-bas au Morbihan ? Elle possède une sœur humblement retirée ! Il y vit un ermite à l’esprit pétillant ! Il est bouilleur de crûs quand le vin est tiré !
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Nous n’avons pas besoin de tant nous ressembler ! Même si tu es différent, j’accepte ton cadeau. Il coule dans mon cœur et peut nous assembler. Un échange très fort, un aficionado !
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Petite fée silencieuse, tu m’as l’air un peu coincée ! À ta mine un peu boudeuse, je te devine nouée ! Est-ce au cœur de tes entrailles que se situe le tourment ? Est-ce au milieu de ton cœur que se noue l’empêchement ?
Tu es frustrée et recluse, perdue dans l’autocritique. Tu n’arrives pas à percer, à t’individualiser. Ça te bloque et ça te blesse et c’est la crise aquatique Dans des spasmes intestinaux pour te faire réaliser.
Le travail du quotidien est un mauvais engrenage. Tu pourrais communiquer mais préfère y transgresser. Ta famille te tourmente, ta fratrie et ton ménage, Ton caractère en conflit, l’inconscient est rabaissé.
Toute ta vision d’ensemble est complètement difforme : Tu comptes trop sur toi-même, beaucoup trop consciencieuse Tu ne développes pas ton intuition et tes formes. Pourtant tu es créative, émotive et facétieuse…
Mais cette créativité t’apporte aussi de l’orgueil ! Tu t’accroches à tes envies car tu veux te révéler ! On n’est jamais reconnu en fonction de son coup d’œil ! Il te faudra lâcher-prise et laisser l’âme exceller !
Ouvre-moi bien grand ton cœur ! Je vais mettre l’antirouille Qui va détendre ton ventre et relâcher tes tensions. Tes émotions vont bouger s’exprimer sans moindre trouille Et ton cœur si maternel jouira en intention.
J’ai brisé tous mes pots, j’ai brisé mes entraves, J’ai brisé mes obstacles, j’ai brisé l’esclavage. J’ai sorti mes racines, extrait ce qui m’aggrave. Maintenant je suis libre et sorti du servage.
Les pots m’ont fait croire à tout ce qui me manque Et ils m’ont imposé mes cruelles limites. Ils m’ont ligaturé mes ailes de saltimbanque. Ils m’ont fait prendre un pli et je vis en ermite.
Qu’on me comprenne bien j’ai l’âme marginale Et j’ai manifesté mes nombreux désaccords. C’est une maladie et c’est abdominal ! Ça me prend dans les tripes et j’ai des haut-le-corps !
Tout le monde est heureux mais mes pots me condamnent Et je ne parviens pas à voir à l’extérieur Ma personnalité, ma beauté intérieure. Mes pots opacifient ma tristesse qu’on damne.
À force de tourner dans ces pots démoniaques, J’ai créé l’idée fausse de ma propre suffisance. J’en suis empoisonné d’une odeur d’ammoniaque, J’ai toujours l’impression d’en subir les offenses.
Mais si je cesse vite les fausses apparences. Je verrai mes attentes accordées au bonheur. Aujourd’hui je libère, je prends de l’assurance. Je redeviens humain, j’en retrouve l’honneur !
Sur ma planète bleue, je me suis mis en pot Pour tendre vers le ciel toutes mes belles branches Assis au bord de l’eau je me mets en repos Et j’ai bien l’intention de prendre ma revanche.
Le monde m’a trompé, pas ses faux annonceurs Dans de fausses croyances, dans de vaines convictions « Être ce que je possède » est la première erreur Qui me rabaisse au bas de cette condition.
« Être ce que je fais », mon deuxième faux-pas M’a trop conditionné, la tête dans le pot. « Être ma réputation », n’est qu’un fourbe appât Qui m’aveugle d’orgueil sous le mauvais drapeau.
« Être distinct des autres », mais quelle prétention A bien pu me pousser dans le fond de l’abîme. « Être distinct de Dieu », a fait naître tensions Et de profonds tourments de façon anonyme.
Mais je m’ouvre à la vie, les yeux sur l’océan Qui m’apporte couleurs et de belles intentions. Ce lien qui nous unit au présent bienséant C’est l’écho de ma force, j’en ai la prétention.
Cette force de vie, elle est universelle En étant réceptif, je retrouve ma voie En voyant la beauté, je recouvre ma parcelle Qui me redonne vie et dresse mon pavois.
Dans tous les paysages il y a la beauté. Mais pour chaque lumière, derrière les rochers, Il existe de l’ombre où l’on voit barboter Les idées les plus noires et les plus accrochées.
Tourbillons de souffrance et des plus menaçants M’entrainent vers le fond avec délectation. J’en ai mal à mon âme j’en ai le cœur en sang Quand je vois comment l’ombre m’impose lamentations.
Ils me montrent leurs dents, ils me montrent leurs crocs, Ils sont tapis dans l’ombre, prêts à guetter leur proie. Ils excitent mes peurs et me font des accrocs À l’âme émotionnelle par le stress qui s’accroît.
Mais la plage si belle n’a-t-elle pas la lumière Qui la baigne en chaleur et dans la bonne humeur ? Il faut lever la tête loin des trous de poussière Et sentir le bonheur nettoyer les rumeurs.
Quand je revois la vie et ses mille dangers, Je ne cherche pas dans l’ombre ma clef de liberté. Je vais vers la lumière et je vais m’y changer ; Je deviens le bonheur et j’en suis conforté.
Un précieux assemblage qui unit pour créer, Qui marie la bonté par les liens de l’amour. N’est-il noble beauté, pouvoir de procréer, D’accroitre une famille dans cet acte glamour ?
Un couple créatif et qui a l’intention De poser en commun toutes leurs qualités. Ils sont bien différents mais ils ont l’intuition Que chacun participe à la réalité.
Ce pouvoir de créer fait partie de leur être. Il convertit la vie empreint de bienveillance. La rencontre des sexes va bientôt faire naître, En connaissant l’extase, le bonheur de l’enfance.
Cet Amour nourrissant offre un champ infini Avec prospérité et épanouissement. Il engendre Beauté enfantée, transfinie, Émanée du pouvoir intentionnellement.
L’expansion s’en suivra en toute confiance ! Une abondance vaste sans frontière apparente. Personne n’est rejeté, grâce à la reconnaissance Qui s’adresse aux époux toujours persévérante.
Quand l’escargot pose le pied fermement sur le champignon Une fois encore, il va foncer et arriver pile en automne L’enterrement des feuilles mortes ne lui crêpera pas le chignon Vous allez voir le changement que son intention lui donne !
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Sous le soleil impavide s’en va l’oiseau perception Il vole au raz de la mare, juste au-dessus du reflet L’oiseau vole dans la conscience, dans un monde d’intention Le reflet nage inconscient, dans une vie insufflée.
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Regardez bien les amoureux : ils sont heureux et plein de vie Ils ont l’intention de veiller l’un sur l’autre pour sa santé N’est-il pas meilleure assistance de savoir qu’on doit sa survie À l’âme-sœur qui fait l’amour et qui me baise à volonté !
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Viens voir les tournesols, formes de parasol Ils nous regardent tous en dardant mille yeux Ils nous écoutent tous de leurs belles boussoles Mais dès qu’il fait bien nuit ils nous oublient un peu !
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Aujourd’hui j’avais l’intention de découvrir ce beau village ! Car c’est depuis ma tendre enfance que je voulais le visiter. Je vous emmène avec moi, restez bien droit dans mon sillage, Je vais vous montrer des merveilles pour votre réceptivité !
Dans la Rue Créativité, vous y verrez les créateurs ! Vous y apprendrez à trouver le but de votre destinée. Prenez le temps de bien sentir ce qui fait de vous un acteur Dans votre vie et vos amours bien sages ou bien libertinées.
Continuons Rue de Bonté, avec ses effets positifs ! Tous ceux qui ont déjà créé savent combien c’est bienveillant ! Essayez donc d’imaginer un monde vu en négatif Où le désir créerait la mort, c’est impossible et malveillant !
Nous arrivons Rue de l’Amour, l’amour est la première demeure Qui fut construite dans la cité et c’est la plus grande alentour. Elle est l’énergie de l’écho, un champ infini et charmeur, Elle apporte prospérité, épanouie au jour le jour.
Accourez Rue de la Beauté ! Et sentez bien l’interaction Entre les maisons de l’Amour et les maisons de la Beauté. Ressentez-vous l’émanation du grand pouvoir de l’intention Qui vous fait voir le bon côté en toutes choses pour la santé.
Bienvenue Rue de l’Expansion ! Ici, vous allez explorer Tous les courants d’accroissement et les vents d’amélioration. Vous y vivrez dans la croissance et vous serez revigorés. C’est une roue de la fortune toujours en accélération.
Rue Abondance Illimitée ! Cette rue n’a pas de frontières ! Elle n’a ni début ni fin, dans cette rue vous êtes né ! Vous n’aurez pas assez de vie d’atteindre un jour le cimetière Qui n’appartient pas à la vie contrairement à vos années.
Rue de la Réceptivité ! Personne n’y est rejeté ! Elle s’adresse à tout le monde, tout le monde y est convié ! Nous n’avons vraiment rien à faire que d’attendre et se projeter Dans un réceptacle grand ouvert qui reçoit tout ce que vous enviez !
Il émane une forte énergie particulière de cette gerbe. Une énergie de guérison qui augmente le potentiel De chaque fleur en explosion et transmet le secret des herbes Qui va effacer vos blessures par son pouvoir incrémentiel
La capacité de guérir est issue de la Terre-Mère. On en retrouve les échos dans toutes les plantes et les fleurs. Chaque fleur se guérit soi-même avant de guérir les chimères, Elles retournent à la source et vous inspire comme un souffleur.
Elles n’ont pas de prétentions, d’attrait supérieur compensé, Mais elles ont l’illumination de l’énergie qui éradique, Qui transforme les maladies en intention et en pensées Positives, comme il se doit, et vous verrez : c’est véridique !
Elles transmettent en pensées une énergie de guérison Car la source de vie n’impose jamais justice ni punition ! Ce n’est pas parce qu’on est malade qu’on est méchant ou polisson, Mais c’est juste une belle expérience pour conscientiser l’intention !
La source de toute vie n’impose jamais de peine ou punition ! On n’est pas malade parce qu’on est méchant ou qu’on a mal agit ! C’est juste une belle expérience pour conscientiser l’intention. Si la maladie fait partie de l’univers, elle assagit.
La maladie est un désordre et vous allez manifester L’énergie qui provient des fleurs, qui fait de vous le guérisseur. Vous en avez le potentiel et vous allez admonester Ce qui vous guérit dans le corps et qui guérit vos successeurs.
Si vous exprimez l’intention d’optimiser vos aptitudes De guérir et être guéri, vous en avez la compétence. Mais il est vraiment nécessaire de se soigner en plénitude, Harmoniser ses vibrations avec l’écho en maintenance.
Une porte entre-ouverte sur un monde intérieur. Imposante frontière entre mon extérieur. Une vue intérieure au fond de ma vie, Une percée subtile de mes profonds avis.
Les panneaux qui s’écartent de la perception ; Le premier qui est fixe, on l’appelle « l’intuition » ; Le deuxième mobile, on l’appelle « intention » Et c’est cette dernière qui fait la cognition.
Quand je pousse « Intention », je peux communiquer ! Selon comme j’entrouvre, ma vision s’améliore. Mais « Intuition » est fixe, ce n’est pas compliqué ! Elle reste immobile et j’en suis le senior.
Une bonne intention devient procréatrice. Elle réfléchit l’écho de mon cher intérieur Et transforme le monde selon ma vraie matrice Et j’en vois les effets sur le monde extérieur.
Je n’aurais jamais peur car je suis éternel. Je me tiens à la porte, je suis le troubadour. Ma source universelle, l’écho sempiternel, Se fond dans l’univers et devient de l’amour.
Des spermatozoïdes nagent tous par millions… Mais pour un seul ovule, pour un seul papillon ! Tremblez mâles humains, ayez l’illumination ! Vous êtes des millions, elle est LA cendrillon !
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Au sein de la forêt bleue, on voit passer les trois anges Ils vont chercher les colombes pour la colère des hommes Ils ont pris comme monture, ces trois splendides mésanges Et foncent à bride abattue au rendez-vous sous le dôme.
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Quand je pars en voyage, j’emmène mon chat ! C’est un navigateur excellent pour les trains : Sur le prix des billets, il a des bons d’achat Et dans les wagons-lits, il ronronne d’entrain !
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« Liberté ensablée » est bien paradoxal ! Comment ceux qui ont lutté se sont-ils endormis ? Ils étaient hier, « pionniers », ils sont « l’arrière-salle » Et passent leur temps présent à compter les permis.
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Jetez-vous à l’eau mais… calculez votre élan ! Ne foncez pas de tête sans la sécurité ! Évoluer ne veut pas dire être inconséquent ! Contrôlez bien vos pas avec sévérité !
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Dans mon petit monde clos, j’y ai tout ce qu’il me faut. Un petit lac, un bateau ; quelques jolies promenades Un petit port sur la rive ; je m’y tiens en porte-à-faux Sous mon nuage de pluie qui me fait la canonnade.
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Après avoir marché dans le tunnel si sombre Il est bien reposant d’apercevoir la lumière Mais il faut bien savoir que franchir les décombres Nous apporte au présent une douce prière.
Le bonheur du présent n’est pas aboutissement Ni dans les souvenirs ancrés auparavant. Il est dans chaque pas et ce vieillissement Qui affecte mon corps mais libère l’enfant.
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C’est un petit hameau accroché à la rive. Juste au bord de la mer à deux pas des flots bleus. Accrochés à la terre avant qu’ils ne dérivent Sur les terrains mouvants des rivages sableux.
À force d’apercevoir passer tous ces bateaux Qui du matin au soir emmènent leurs habitants, Les maisons envieuses veulent leur part du gâteau ; Elles ont décidé un plan exorbitant !
C’est pour ce soir, minuit, sous un rayon de lune… Les maisons ont ôté leurs portes et leurs volets… Elles ont fabriqué un radeau de fortune… Et s’y sont installées d’un air croquignolet…
Au matin sur les côtes et la lande esseulée, Personne ne comprend ce qui a pu se passer ! Pas une seule trace n’a pu être isolée ! Le mystère est complet, la mer est compassée.
Sur les eaux tropicales on entend des échos ! La nouvelle Venise vit la belle aventure ! Les maisons sont là-bas, vous verriez la déco ! Elles vivent au fil de l’eau et en villégiature !
La colombe est l’oiseau, de toutes les frontières, Aux ailes déployées d’une énergie de paix. Dans ce monde cruel, elle est l’antimatière Qui va l’anéantir sur le fil de l’épée.
Si les guerres éternelles crachent toujours la haine, La souffrance et l’envie sans cesse ensanglantées, Elle n’abroge pas les lois manichéennes Mais ampute les cœurs qu’elle doit transplanter.
Car le mal crée le doute et le mal crée la peur ! Le mal n’est pas mauvais, simplement opposé ! Opposé à l’écho doté d’un cœur frappeur Qui créa par amour ce monde indisposé.
Mais le mal est vital pour que naisse l’amour. Le mal est cette erreur glissée dans le mantra. Prononcez le bien fort, que sonne le désamour Qui appelle l’écho à grands coups de fatras !
Dans le volcan qui gronde apparaît la colombe. Elle plonge dans le cœur de l’océan de lave. Elle donne son cœur en entrant dans sa tombe Et le Phénix renaît libérant les esclaves.
Ma fleur la plus intense, je l’ai cueillie très tôt. Précocement, sans doute, mais c’était mon chemin ! Je la conserve encore posée sur mes tréteaux, Elle m’épie tandis que je rime ce parchemin.
Elle est la fleur maîtresse de toute ma vie, Elle fut la première, elle sera la dernière. J’ai pu jeter souvent bien d’autres fleurs flétries, Mais celle-ci, immortelle, sera ma douairière.
À trois ans, un vieillard a loué ma jeunesse. Il m’a aussi livré ce franc enseignement : Tu vieillis peu à peu jusqu’à ton temps d’ainesse Et tu mourras un jour irrémédiablement.
Cette fleur, je l’avoue, a été mon moteur. Je n’ai pas toutefois méprisé sa valeur. Au contraire elle m’a fait prendre de la hauteur Et n’est pas cependant une fleur de malheur.
Fleur de mort, fleur de vie, toi, l’ultime passage, Je te sais magnanime et tu n’es pas cruelle ! Tu m’as fait parcourir le voyage du sage ; Tu m’accompagneras vers la vie éternelle !
S’il est des paysages agréables à la vue, Il en est de gracieux à mes fines papilles. Velouté de tomates qui tapisse les nues, Des asperges à la crème au sol en estampille.
Faites couler le lait dans toutes les rivières, Parfumez d’estragon les meilleures chaumières, Un bouquet de persil en guise de bruyère, Salez, poivrez, nappez d’un soupçon de gruyère.
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Si l’auteur de cette image reconnaît son travail, je serai heureux d’en mentionner le nom avec respect.
Au pays d’où je viens coule une source d’or Plongez-y la main nue elle ressort mordorée N’hésitez pas, allez ! Plongez tout votre corps Vous aurez un sexe en or et un petit machin doré…
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Dans le temple des lumières, toutes les coupes sont permises Les anges ont déchiré le toit aux tuiles ajourées Les deux vestales surveillent qu’aucune faute ne soit commise Elles ont ôté les volets et sont toutes énamourées.
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N’est-il en notre temps de plus réjouissant Que partager les fruits que nous avons semés Avec les animaux, nos voisins, jouissant Tout autant que nous tous, des bienfaits parsemés ?
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Sous le soleil dansant au milieu des nuages La rue est carrelée sur toute l’étendue Regardez miroiter, de façon si suave L’azur infiniment de la voûte tendue.
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Quand les moutons liront toute leur destinée Comprendront-ils qu’ils sont des loups mal costumés ? En habit de mouton c’était prédestiné, On leur a fait tout croire pour les accoutumer.
Prenez un beau lion juste sorti du sein, Mettez-le dans la peau d’une jolie gazelle, Répétez-lui encore qu’il est comme un poussin Il vivra en basse-cour, si vous coupez ses ailes.
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La robe nénuphar, c’est bien pour les grenouilles Ça permet de nager, rester bien en surface. Quand il s’agit de plonger pour aller en patrouille On est bien embêté pour faire volteface.
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Tu me verras partir sur la pointe des pieds, Assez discrètement, sans tambour ni trompette ! Pas besoin de clamer l’honneur comme il me sied Je passe incognito dans le cœur des tempêtes.
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Ce monde à l’intérieur n’est pas aussi petit Une fois le regard passé par l’ouverture. On n’a plus qu’une envie d’aller y faire son nid. Une fois dans le sein, c’est toute l’aventure !
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