Arriver au bout du chemin, Atteindre enfin sa destinée, Parvenir au sentier divin Et envie de recommencer. Aboutir seul ne suffit pas Si je n’ai pas accompagné Tous ceux qui marchent dans mon pas Et que j’ai désir d’assister !
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J’ai revu la Fée Liberté Ça faisait une éternité Mais lorsque je l’ai retrouvée J’ai su qu’elle voulait m’éprouver…
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Danse avec les étoiles, Danse sans cérémonial, Danse avec la nature, Danse en villégiature.
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Joue-moi la symphonie d’amour J’ai besoin d’y rêver encore Chante-moi, joli troubadour, Invite-moi sur tes accords.
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Si j’ai quelque chose à vous dire, Je vous le dis avec des fruits. Je ne vais pas me contredire ; Écoutez-moi, je vous instruis. Selon l’humeur qui me dérange, Je prendrai deux ou trois oranges.
Si j’ai l’humour qui me taquine, Je prendrai quatre mandarines. Pour écrire une lettre grave, Je prends un blues de betterave. Pour dévoiler mes sentiments, je prends le rouge d’un piment.
Si c’est pour des condoléances, J’ai le brou de noix de Provence. J’ai, pour écrire des poèmes, Le vert d’olivier de Bohème. Si la consternation m’assomme, Je fais la compote de pommes.
Pour retrouver mon cœur d’aztèque Il me faut toute une pastèque. Pour caresser un mamelon, Juste une tranche de melon. Mais pour baiser, il faut me croire, Rien ne vaut un kilo de poires !
Pour que la belle dise « oui », Pensez à manger du kiwi. Et pour séduire les nanas, Mangez des tranches d’ananas. Que faut-il faire en cas de panne ? Prévoyez trois belles bananes.
Et si vous préférez les brunes, Comme moi, grignotez des prunes ! Pour faire un slow avec Mireille, J’ai pris des grappes de groseille. Pour un encart avec Thérèse, J’ai toujours mes plus belles fraises.
Pour faire l’amour à Françoise, Rien n’est plus sûr que les framboises. Pour embrasser avec la langue, Au préalable, mangez des mangues ! Ces belles lettres romantiques, Depuis la vieille Rome antique,
C’est dans ces fruits d’Adriatique, Qu’est la vraie nature italique. Prenez le goût de l’authentique Avec tous ces fruits exotiques Choisissez la touche artistique Et croquez les fruits érotiques.
Elles sont austères et taciturnes, Elles font la limite du temps, Ce sont les deux tours de Saturne, Elles rassurent les débutants.
Elles symbolisent tes défenses, Ton besoin de sécurité. Elles font barrière aux offenses, Elles t’offrent la stabilité. Ce sont des tours émotionnelles, Elles sont l’amour, l’amitié. Elles sont aussi rationnelles, Ta lumière et ton bénitier.
À ton corps, la plus forte rassure, Elle te donnera le bras, Elle guérira tes blessures De la morsure des cobras.
À ton cœur, elle sécurise Tes émotions, ton affectif. L’insécurité n’a plus prise, La paix règne dans ton collectif.
Elle soutiendra ta structure, Elle vieillira avec toi. Elle représente la droiture, Elle en supportera le poids.
À ton âme, la seconde lame T’oriente dans tes tourments. Elle demeurera ta flamme, Ta boussole, ta rose-des-vents. Pour pouvoir en briser la croute, La tour t’ouvre l’éternité. Elle te montrera la route, Le chemin de la sérénité.
La tour est très spirituelle, Elle t’offre la plus belle vue, Une vision continuelle, Bien au-delà des déjà-vus.
Elles supportent les coups ensemble, Elles repoussent tes ennemis. Et d’ailleurs, elles te ressemblent, Elles sont ton amant, ton ami.
Tour Lumière, tour Émotionnelle, Vous êtes les gardiens de la vie. Ce sont tes fidèles sentinelles, Ton portail et ton pont-levis. Pour toujours les deux tours de pierre seront debout dans le levant. L’affectif peut tirer en arrière, Tes tours seront toujours devant !
J’ai perdu mon chemin, j’ai perdu mon destin Je ne sais où je suis, je ne sais qui je suis, Je n’ai plus ma boussole, je ne joue plus de rôle J’avance sans savoir où m’emmène l’espoir !
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Self-service à tire-d’aile ! Boire à tire-larigot ! Tu peux faire comme chez elle Et venir pour boire un pot !
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Eh bien voilà ! J’ai mis du bleu ! J’ai coloré tous mes désirs ! Je les ai teints de mille feux ! Pour le plus profond des plaisirs !
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Dormir dans les nuages, Rêver sur une plage, C’est toujours un voyage Avec ou sans bagage…
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Les bateaux immobiles sont de grands voyageurs Ils tournent avec la Terre et revoient le soleil Tous les jours sans relâche et avec du bonheur, Ils reflètent l’éclat de cet astre vermeil !
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Porter son fardeau accompagné d’un enfant, Faire la route ensemble et lui tenir la main, Lui raconter la vie et ses mille tournants, Lui apprendre à marcher sur son propre chemin.
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Si la Lune est violette Nous irons invoquer Les flammes follettes Et nous en moquer !
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Je prendrai l’orient-express Pour aller jusqu’au couchant, Enchaîner, si rien ne presse, Et atteindre l’occident !
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C’est aux jeunes lueurs de l’aube Que s’envolera la cigogne. Revêtez vos plus belles robes, Envolez-vous pour la Pologne !
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C’est l’homme bleu qui marche sur les dunes. Il court le soir sifflant au clair de Lune. Rien ne l’arrête, ni le vent ni le sable, Toujours il court vers ses rêves insondables.
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Aussi loin qu’ira la voyageuse que j’aime, Les bagages de son cœur l’accompagneront. J’ai semé à l’intérieur un peu de moi-même, Partout où elle sera, nous nous retrouverons.
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J’ai rêvé mille jambes pour parvenir à toi, J’ai pensé mille bras pour pouvoir t’y serrer, J’ai rêvé mille bouches pour pouvoir t’embrasser, Mais il suffit d’un cœur pour vivre auprès de toi.
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Quand l’enfant intérieur regarde à la fenêtre Avec son chat fripon qui lui tient compagnie, Tout un monde de fée est en train d’apparaître Car les yeux de son cœur sont sa source de vie.
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Ma vie est d’orange et rien ne me dérange. Mon cœur est de pourpre et l’amour l’empourpre. Mon âme est de jaune et mon corps est jeune. Toutes ces couleurs chaudes comme des reines-claudes Sustentent ma faim et mes lendemains.
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Un souvenir éternel accroché à ma mémoire Comme un trousseau amoureux préservé dans une armoire, Dans un livre de cuisine ou dans les meilleurs grimoires, Font les meilleurs ustensiles et les meilleures écumoires.
Souvenir d’une beauté, la plus belle de la ville, Des frous-frous et des pompons et un petit air tranquille. Je la rejoignais souvent avec mon p’tit baise-en-ville. Nous vivions dans le secret, notre petit Vaudeville.
Les études coûtaient cher nous n’avions pas de fortune Et pour payer ses études, elle fut bien opportune D’ôter un peu ses frous-frous pour avoir un peu de thune Elle gardait ses pompons branchés autour de sa lune…
Et quand elle s’effeuillait, c’était avec bonne grâce, Une belle plante heureuse, qui savait laisser la trace D’une ineffable beauté qui n’avait point de disgrâce. La fine de barbarie d’une jolie plante grasse !
Pour prolonger ses attraits et payer ses magasines Elle savait adapter les recettes de cuisine. Après avoir provoqué l’orgasme de Mélusine, Elle me mijotait des mets qui ravissaient les voisines
Juste habillée de pompons et de ruban bleu-marine, Rien n’est plus beau que ses mains qui pétrissent la farine ! Rien n’est plus aromatique que les sucs dans sa crépine ! C’est la princesse étoilée, à poêlée, la ballerine !
Tous ces chrysanthèmes bleus harmonisent mes pensées Des souvenirs merveilleux pour trois pièces dépensées. J’aime toujours Mélusine, sa cuisine a compensé D’avoir jeté ma soutane et j’en suis récompensé !
Le silence est tombé cette nuit sur la mare. Les grenouilles en deuil vivent un cauchemar. La crevaison soudaine et tout le tintamarre D’un stupide animal, un idiot, un vantard.
Pour ressembler aux princes, riches de connaissances, Une pauvre reinette, venue sans importance, S’est embellie d’orgueil et, dans l’effervescence, A confondu la taille avec la compétence.
Elle s’est efforcée pour être à leur image De se gonfler d’éther à force de ramage. Si bien que bien avant de l’être davantage, Elle s’est éventrée à son désavantage.
Ceux à qui elle avait voulu s’apparenter N’en ont même pas eu ni chagrin, ni pitié. Ils s’en sont amusés sans être tourmentés, Ce n’était là pour eux, qu’éphémère amitié.
Les siens ont recueilli sa peau éparpillée, Honoré sa mémoire sans même la houspiller. N’est ce point grand dommage de voir tant gaspillée Toute une éducation et la voir torpillée ?
Les gerbes, les couronnes, tous les bouquets de fleurs Rendent un dernier hommage à l’animal gonfleur. Les lucioles brillent à l’abri des souffleurs Et la mare est fleurie d’un vent écornifleur.
Frêle bateau sur l’eau qui va à la dérive Tandis qu’au fil du rêve, le voyageur arrive. Partir est un remède au gré de son navire, Filer droit devant soi, sans regarder la rive.
J’étais ce voyageur qui parcourait en rêve Des rivages impossibles, des périples sans trêve, Abandonnant son monde, le laissant sur la grève, Fuyant l’autorité, les ordres « Marche ou crève » !
Vivre sa vie en rêve comme procuration N’est pas la solution mais une aberration. Mais la fuite préserve et, de l’aliénation, Permet la sauvegarde, une amélioration.
Bientôt le fugitif découvre son naufrage. Il arrête sa fuite, empoigne son courage. Il fixe l’horizon renforce son ancrage Pour sa métamorphose, son nouveau démarrage.
Il a tellement vu, acquis de connaissance, Tout ce qu’il a glané dans sa convalescence Guide son intuition, devient incandescence Pour diriger ses pas avec luminescence.
Autrefois voyageur, aujourd’hui conquérant, Partout où tu regardes, ton cœur est requérant. Il a forgé ton corps aujourd’hui différent Et tu sais dénouer tes nombreux différends.
Nostalgie de la fuite, mes souvenirs d’antan. Je vis dans le présent, ici et maintenant. J’accepte mon destin et j’en deviens le maître. Le sage, quelque part, est en train d’apparaitre.
Juste au pied de la tour qui côtoie les étoiles, Elle avance inconnue, cachée derrière son voile Qui enclave son corps drapé dans cette toile Qui la tient au secret, jamais ne la dévoile.
Elle est juste un maillon composant de noria, Native du mythique royaume d’Almeria. Puis aux sources du Nil, aux chutes Victoria, Là-bas elle a connu la vraie passionaria !
Désormais tous les jours, du levant au couchant, Elle part à la source, d’un air effarouchant, Transporter l’eau du puits de son cœur accouchant, C’est là toute sa vie, regardez, c’est touchant !
Origine du monde, mère de l’humanité, Tu es devenue l’esclave et la propriété Du peuple que tu as par toi-même enfanté. Pour lui, tu t’es soumise en toute humilité.
Mais bientôt tu te lèves à l’appel de tes filles Et tu reprends ta place, tu brises ta coquille. La chenille a quitté son cocon, sa Bastille. Tu redeviens la femme reine dans la famille.
Tous ces vilains petits canards, Je les ai apportés pour toi Parce que tu sais goûter sans fard La vraie beauté qui vient de soi !
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C’est au pays des éléphants Que je redeviens un enfant. Je rêve d’être leur cornac Et siroter un armagnac.
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Dans la vie, quand on est jaguar, Tout va très vite à toute berzingue ! En amour, y’a pas de hasard ; Un coup de foudre, on devient dingue !
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Joue-moi encore, encore un peu ton concerto, Celui qui chante dans mon cœur decrescendo ! Il papillonne de couleur dedans mon cœur, Il me transforme en instrument pour ton bonheur !
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C’est ce soir au crépuscule Que mon cœur, enfin, bascule ! Le Soleil va flamboyer ! Et la Terre va trembler !
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Aussi léger que cette plume, Mon âme et mon cœur se connectent Dès à présent que j’y allume Cette belle pensée directe !
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Dans le labyrinthe des glaces Ses reflets changent son image… Est-elle épouse de son amant ? Ou bien la mère de ses enfants ?
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Inondé de lumière Élevé dans les airs Auréolé d’éther C’est l’enfant de la Terre !
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C’est aujourd’hui que ça se passe, c’est le vieux marchand ambulant ! Il porte au-dessus de sa tête, plein de bibelots amusants. Un chat qui rit, un poisson rouge, un petit escargot tout blanc. Il me sourit de ses lunettes et je redeviens un enfant !
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Aujourd’hui en revenant du Machu Pichu, J’ai rencontré l’homme au manteau qui m’attendait… Il m’a donné un cœur plein d’atomes crochus Et tout l’amour de son pays pour le planter.
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Joli papillon-calumet Nous a enfin tous rassemblés. Ce soir nous allons allumer Des feux de joie aux champs de blé.
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Pagodes enfouies dans la brume Noyées de jaune et de brouillard, On dirait des jonques qui fument Et qui vont partir au hasard…
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Savez-vous où je vais ce soir ? Je vais là où va l’éléphant. Je vais l’accompagner pour voir Tous ses compagnons triomphants !
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Ô Mes compères les 3’zeaux Qui s’amusent à tire d’aile ! Ils m’appellent sur les ruisseaux Et je vais me faire la belle !
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Quand je rentre chez moi, à côté de la porte, Niché dans une alcôve, c’est ici que j’apporte Mes pensées oubliées comme la feuille morte. Et dans ce pot je jette tous ces maux qui m’escortent.
Quand la nuit est tombée sur tous mes souvenirs, Vient la lune d’argent prête intervenir. L’alchimie mystérieuse change mon devenir Et la métamorphose influe mon avenir.
Tout semblable au levain qui fait monter la pâte, Pareil à la levure qui fermente le malt, Une transformation façon homéopathe Agit sur le bouquet et ses fleurs de Cobalt.
J’y mets une pensée pour celle que j’embrasse, J’y ajoute un souci qui vraiment m’embarrasse, J’y mets mes impatientes et je m’en débarrasse, Enfin mes immortelles et j’en demande grâce.
Ce soir j’y ai versé mes pensées négatives, Toutes mes émotions non communicatives. Ce matin rejaillissent des pensées positives, J’ai le cœur apaisé et l’âme créative !
Je t’offre ce bouquet, mets-le dans ta maison. Déposes-y ton cœur, ignore tes raisons. Toutes pensées futiles feront la floraison, Fourniront ton bonheur et sans comparaison !
Il est l’ange déchu, il a perdu ses ailes, Il a trahi l’amour par un excès de zèle. Pour une femme-enfant au cœur de demoiselle, Il a trahi les siens, son nom est Yeiazel.
Il n’est pas très méchant, juste un ange souffrant Qui n’a pas trouvé mieux après être l’offrant De blesser les humains d’un orgueil un peu franc, Afin de soulager son propre châtiment.
Il est anorexique, même un peu anémique, Autiste envers ses proches, surtout patronymiques. Pour gérer ses souffrances assez tragicomiques, Il a semé le mal et c’est cataclysmique !
N’y a-t-il d’autre moyen pour trouver le bonheur Que d’affliger les autres dans un profond malheur ? Être épanoui heureux appelle aux zizaneurs À chercher noise aux autres, médire à l’extérieur ?
Il était le plus beau et le plus prometteur ! L’auréole a terni, il n’est plus émetteur. Ange de compassion, il n’est plus transmetteur. Il exhorte l’amour mais ce n’est qu’un menteur !
N’est-il pas humiliant de savoir qu’un nanti N’aime pas que l’argent, mais d’être garanti D’être seul à jouir et rester pressenti à vivre intensément ; les autres au ralenti.
J’ai longtemps eu du mal, pouvoir m’imaginer, Ce qui fait le méchant, qui l’a incriminé. Mais son cœur a souffert ; et cette âme ruinée Cherche à nous entraîner et nous contaminer.
« Il n’y a pas de personnes méchantes. Il y a seulement des personnes souffrantes qui n’ont pas trouvé d’autres moyens que de blesser les autres pour gérer leur propre souffrance. Quand nous sommes épanouis et heureux, avons-nous envie de chercher des histoires aux autres ? » Catherine Ikalayos
En parcourant tous les sommets Que nous a donnés la nature, Nous avons le cœur embaumé Le corps serein et l’âme pure !
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Quand la raison guide l’amour Le voyage est plein de détours… Quand le cœur veut une vie stable Il construit ses murs sur le sable… Laissons l’esprit bâtir ses tours Et le cœur ses rêves ineffables !
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Il y a le feu au lac des cygnes ! Prévenez vite les pompiers ! Les feux du soleil me font signe Et je les ai vus le premier !
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Voici venir la transhumance Et la rencontre des bergers Pour donner aux brebis la chance De vivre le cœur en été.
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C’est par le regard d’un enfant Que nous sentons la vérité. Son cœur l’accompagne en chantant Rencontrer l’amour et les fées.
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Sur la plage tous les pécheurs sont rassemblés J’ai cru qu’ils avaient, toute la mer, démontée Et moi je croyais qu’ils m’avaient fait une blague Et moi je croyais qu’ils nous fabriquaient les vagues !
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Dotée d’une voie stridente, mademoiselle est troublante. Deux yeux profonds qui enchantent le cœur et l’âme galante. Une bouche alléchante sous deux pommettes saillantes, Tantôt elle se fait gouaillante, tantôt elle se fait hurlante !
Ses jambes gesticulantes rythment une humeur pétillante ! Ses bras frappent en cadence une cadence enivrante ! De sa main gauche tremblante, elle plaque un accord andante, Tandis que la droite violente la corde ardente et brûlante !
Elle est vive et stimulante, elle n’est jamais soulante. Elle transmet, déferlante, son humeur vive et charmante. Il n’y a pas d’équivalence à sa jolie voix troublante. Tremblez qu’elle ne vous plante ses graines si virulentes !
Mais elle a toujours bon cœur et distille le bonheur. Son cœur est un grand soleil qui illumine les réveils. Son regard un peu moqueur vous remplit d’une chaleur Qui vous extrait de la veille pour le pays des merveilles !
Écoutez cette emballante mélopée époustouflante Qu’elle joue oscillante sur ses hanches ondulantes ! Si la chanson est trop lente, elle la rend ensorcelante. Sous les lumières aveuglantes, elle est toute étincelante !
Si la main devient tremblante, n’ayez pas l’âme affolante ! Elle se fait indolente pour repartir succulente. Sa poitrine titillante rythme toujours la cadence De la guitare rutilante d’une musicienne excellente !
Mais quand son beau regard charmeur de ses grands yeux noirs rieurs Vous entrainent sans pareille de ses prunelles vermeilles, Elle chuchote en douceur depuis son monde intérieur Une promesse en sommeil en vous séduisant l’oreille !
Dis, tu me le refais le coup du bouquet rouge ? Avec toutes ces fleurs et ces couleurs qui bougent ! Égaye-moi le cœur, mets-lui en plein les yeux ! Ranime-moi la flamme, ranime-moi le feu !
Quand les jours de grisaille dissolvent mes nuances, Ton bouquet fait l’accord et fait une muance. Quand le blues se répand dans mon âme en déroute, Tu crées de l’harmonie, de la joie sur ma route.
Quand mes soirées sont sombres et vides d’amitié, Tes fleurs ont le secret des soucis amnistiés. Quand j’ai besoin d’un cœur qui saura m’écouter, Tes pensées immortelles, mon cœur sait y goûter.
Quand une larme monte et lave ma tristesse, Alors mille reflets la prennent de vitesse. Quand j’ai l’âme qui pleure d’une indélicatesse, Ton bouquet joue les vers et l’âme poétesse.
Des effluves embaumés me ravissent les sens, De fragrances éclatantes, de mille-et-une essences. C’est une épidémie, c’est une contagion, Ton bouquet a fleuri dans toute ma maison.
Je me suis caché sous un parapluie. Personne ne m’a vu, Personne ne m’a pris. Nous sommes tous semblables sous la pluie. Personne n’est reconnu, Personne n’est surpris.
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