

Comme je zoome avec le cœur, je zoome aussi avec les yeux
Et ses pupilles intégrales s’ouvrent sur le monde de l’âme.
J’y entre de plain-pied, vainqueur de ses deux remparts orgueilleux,
Ses deux défenses palpébrales qui n’osent me jeter un blâme.
C’est au plus près de la frontière que l’iris révèle sa clef
Et j’accède à son subconscient complètement hypnotisé.
Moi qui voulais son âme entière, je me trouve alors encerclé
De tous ses désirs impatients d’un avenir érotisé.
Tableaux de Gustav Klimt
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