

Quand elle s’est déshabillée tout l’univers s’est entrouvert ;
Le puceau devint étalon et la pucelle devint chatte.
Après l’avoir estampillée, à cœur perdu, à cœur ouvert,
Il enfila son pantalon puis, il renoua sa cravate.
Mais elle ne put se rhabiller car il avait, dans les orties,
Jeté sa jupe et sa culotte pour garder l’œil sur le minou.
Elle laissa s’éparpiller toute sa pudeur assortie
À l’exhibition rigolote du mâle se mettant à genoux.
Tableaux de Rafal Olbinski
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