Le vendredi, tous les centaures au feu de camp sont rassemblés ;
On y invite les sirènes mais ce n’est pas pour les manger.
Sur le rivage, ils sont pléthore à accourir à l’assemblée
Auprès de leur roi et leur reine qui les protègent des dangers.
Les sirènes montent en amazone qui sied à leur anatomie ;
Elles ont du mal sur la terre ferme à se déplacer autrement.
Ainsi, elles parcourent les zones divisées en dichotomie
Entre le palais et les fermes pour parer aux encombrements.
Centaures et sirènes en binôme forment la police montée
Qui traque les humains capables d’aller là où il ne faut pas.
Mais sitôt qu’ils trouvent un bonhomme de bonne ou mauvaise volonté,
Ils convient alors le coupable à s’impliquer dans leur repas.
Tableau de Rafal Olbinski.
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