
Dans le crépuscule liquide du SANCTUAIRE de Laureline,
J’ai découvert l’étroit chenal qui conduit direct aux fantasmes.
Lorsque m’a pris l’envie languide de m’endormir sur la colline
Du Mont de Vénus vaginal secoué après son orgasme.
Elle m’attendait, nue sur la plage, pour une baignade mystique
Au milieu des vagues dorées de la mer de la volupté.
Avide de batifolage – son humeur caractéristique –
J’invitais ma belle adorée à caresser sa vénusté.
Juste des massages gracieux en suivant la carte du tendre
Et parfois plus en profondeur par ses ruelle traversières.
Quelques mouvements audacieux ne se seront pas fait attendre
Pour qu’apparaissent dans ses rondeurs les voies rapides des fessières.
Et dans cette mer souterraine, j’ai plongé dans l’eau virginale
Et j’ai retrouvé le rivage et Laureline l’esprit rebelle.
J’ai pénétré ma souveraine encore une fois par le chenal
Et cette baignade sauvage m’a ramené près de ma belle.
Depuis je plonge dans Laureline et j’émerge avec Laureline
Boucle infinie ou trou de ver ? Avec elle aucune certitude !
Et ma conscience masculine devant l’énigme sibylline
A finalement découvert qu’elle était ma vicissitude.
Tableau de Max Middleton.
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