
À l’impossible nul n’est tenu mais comment fuir les conventions ?
Le peintre a besoin de sa toile et l’illustrateur du papier.
Picasso, lui, s’est abstenu de respecter les proportions
Du moins, c’est ce que nous dévoilent ses femmes peintes à cloche-pied.
Les gueules cassées de ses tableaux m’évoquent un désir de rupture
Avec les chemins tout tracés que l’instruction m’a imposés.
Heureusement, par le hublot d’une avant-gardiste peinture,
Je peux l’inconnue embrasser derrière un masque supposé.
Tableau de Rafal Olbinski sur https://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2016/12/Rafal-Olbinski.html
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