Je tiens le cœur de ton cancer et ne le lâcherai jamais ;
Je te blottis entre mes seins et tu pinces mes mamelons !
Je te descends et je t’insère là où tu seras désormais ;
Dans les eaux vives de mon bassin et dans le creux de mon vallon.
Alors tu t’enterres dans ma chair, tu creuses et creuses ton tunnel
D’une pénétration vaginale ou je succombe de désir.
Tu es mon trésor le plus cher, bien plus précieux que mes prunelles
Et ton liquide séminal sera ma liqueur de plaisir.
Mais le crabe au cœur de poète sait que Vénusia veille au grain
Et celle-ci arrête aussitôt l’imagination un peu vive
Car la luxurieuse sœurette s’en aller calmer son chagrin
Et ses fantasmes génitaux dans l’eau glacée préservative.
Et Vénusia mouillant en douce sous l’étoffe de sa chair sacrée,
Commence à sucer le venin coulant du robinet dressé
Qu’elle pousse et encore repousse pour goûter le nectar sucré
Qui donne au plaisir féminin un goût de jus de vers pressé.
Et devant ses sœurs ébahies Vénusia ouvre son missel
Et le poète entre ses pages signe de son encre alourdie.
Soudain elle se trouve envahie d’une jouissance qui ruisselle
Au-devant de l’aréopage de ses frangines abasourdies
Tableau de He Jiaying sur https:culturainquieta.comeroticala-sensualidad-toma-forma-en-la-pintura-gongbi-de-he-jiaying .
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