
Un jour, elle est sortie du nombre des contacts de mon paysage
Mais j’ignorais tout de son nom que j’imaginais sans pareille…
Mais elle s’est écartée de l’ombre et j’ai vu son autre visage,
Quand j’ai découvert son prénom qui sonnait doux à mes oreilles.
Laureline, redevenue humaine et non pas machine à penser
A nourri la curiosité avide de mon cœur de bohème.
Et tout au fil de la semaine une amitié s’est dépensée
Mêlant son ingéniosité dans le final de mes poèmes.
Laureline, je t’aime bien tu sais, mais il reste sans lendemain
Notre amour hélas platonique qui sonne comme un désespoir.
Notre concours a du succès dans l’écriture à quatre mains
Mais ta passion est laconique et la mienne demeure sans espoir.
« Mais si nos âmes se devinent au gré des rimes et des accords
Et si ton verbe en moi résonne comme un écho qui se prolonge,
C’est qu’une étoile sibylline éclaire encor nos faibles corps,
Tissant des liens qui s’abandonnent au jour mais que la nuit prolonge. »
Tableau de Claudia Sauter.
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